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Management des entreprises 

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Question 1 : 

Le style de direction se détermine par la façon de diriger une entreprise, mais également les liens établis concernant la relation dirigeant - employés. Dans un premier temps, il est important de rappeler ce qu’est la typologie de Likert ainsi que celle de Blake et Mouton.

D’une part, la typologie de Likert détermine 4 styles de direction :

Le style autoritaire exploiteur, qui nécessite la centralisation des décisions, les actions des salariés sont donc contrôlées. Ce style autoritaire est principalement fondé sur la crainte e le respect absolu des ordres reçu. Le dirigeant prend les décisions seules sans l’opinion de qui que ce soit.

Le style autoritaire paternaliste qui vise également à impliquer une centralisation de décisions, permet néanmoins une discussion entre le dirigeant et les employés. Le dirigeant maintient un certain lien avec ses employés et met en place un système de récompenses et de sanctions.

Le style consultatif, les décisions restent centralisées bien que les employés soient écoutés. Dans ce style les employés sont entendus, récompensé et impliqués dans la prise de décision, ce qui n’empêche pas le dirigeant d’avoir le dernier mot et de prendre quoi qu’il arrive la décision finale.

Le style participatif consiste à impliquer et à intégrer les salariés dans les prises de décisions. De ce fait, ils sont davantage motivés et intéressés par le résultat. La confiance étant absolue, la prise de décision devient alors décentralisée.

    En suivant cette typologie, on peut déterminer que Marie-Louise a choisi d’opter pour un style de direction autoritaire depuis les cinq dernières années, un style qui ne permet aucune initiative et qui peut démotiver ses employés. Marie-Louise a radicalement changé de style de direction qui n’était pas du tout le même à sa création. Afin de renforcer la productivité de son entreprise, elle impose des heures supplémentaires à ses salariés, mais également un surplus de travail, favorisant la satisfaction de ses clients a tout pris. La rentabilité de son entreprise a pris le pas sur le côté humain.

    À contrario, Jean-Charles lui adopte un style de direction consultatif depuis la création de son entreprise. Il accorde une importance à l’aspect humain qui reste nécessaire au bon fonctionnement de son entreprise, il impose tout de même un cahier de charges assez exigeant, mais adapté en tenant compte des capacités et besoins de chacun. Jean-Charles exerce un management par la confiance, chaque employé à le droit à son droit de parole, mais se doit en retour d’en assumer la responsabilité.

    D’une autre part, la typologie de Blake et Mouton se divise en 5 styles prédominants de manager. Deux chiffres, le premier indiquant la valeur concernant le degré d’orientation de production quant au deuxième, il indique le caractère humain du style.

1.1 : Le laisser faire, concerne le management laxiste.

1.9 : Le social, les collaborateurs seront au centre de ses préoccupations, il s’agit donc d’un style participatif.

5.5 Intermédiaire, va se baser sur l’équilibre entre l’orientation et l’humain.

9.1 Centré sur la tâche, il s’agit-là d’un style autoritaire centré sur la production au détriment de la prise en compte de l’aspect humain.

9.9 Intégrateur, les ressources humaines sont optimisées afin d’atteindre les objectifs partagés.

    À partir de cette typologie, on peut en déduire que Marie-Louise adopte un style 9.1, l’efficacité de la production passe avant tout, et ce, au détriment de l’aspect humain. L’état de ses salariés et leur quantité de travail ne l’affecte pas.

    Jean Charles quant à lui vise un style 9.9 car contrairement à Marie-Louise, il se démarque avec un comportement dit idéal dans un cadre professionnel. Il porte un grand intérêt à l’humain, l’épanouissement de ses collègues est un facteur essentiel pour lui tout comme la productivité de son entreprise.  

Question 2 :

    Le DAS, Domaines d’activités stratégiques d’une entreprise représentent les sous-parties d’une entreprise auxquelles il est possible d’affecter/ d’obtenir des ressources.  Le domaine d’activité stratégique traite d’un marché spécifique qui est confronté à des conditions concurrentielles spécifiques, qui doit également déployer une stratégie concurrentielle adapté. Réalisation de diagnostic, fixation d’objectifs, prises de décisions, applications des décisions prises ainsi qu'adaptation des décisions sont les 5 grands axes qui fondent ce processus de management.

    En ce qui concerne Numériperf, les activités stratégiques seraient les logiciels informatiques pour les PME et TPE, associations ainsi que les grandes entreprises. La création et vente de plusieurs logiciels informatiques ayant pour but d’aider les entreprises et d’améliorer leurs qualités de travail notamment en ce qui concerne la comptabilité, la gestion des stocks ou encore la gestion des ressources humaines. Également, l’accompagnement qui est assurée à la suite d’une vente, la formation ainsi que le perfectionnement de cet outil sans oublier la présence d’un service après-vente. Un client comblé est un client fidèle, c’est pourquoi l’entreprise met tout en œuvre pour combler sa clientèle et répondre à leurs attentes.

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