Nourriture
Mémoire : Nourriture. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar clem14 • 12 Janvier 2014 • Mémoire • 449 Mots (2 Pages) • 1 007 Vues
La nourriture est souvent apparentée à l’art de différente manière, Tous d’abord à travers le texte de Marie rouanet, on découvre une recette de façon artistique mais tout en gardant sa simplicité. Le champ lexical est une accumulation d’adjectifs et de noms entrainant, ensuite elle accentue les précisions sur les saveurs imaginé, décrivant pourtant un plat très simple. Michel Onfray lui nous fait partager un met, tous gardant cet image de simplicité, mais très savoureux, la fraise. Il la présente comme il pourrait présenter une peinture, présentant tous d’abord un aspect général, jusqu’à se centrer seulement sur la fraise, nous décrivant les sensations de froid et de chaud découverte durant sa dégustation, ce qui amène le lecteur à s’imaginer un enfant faisant la découverte de ce fruit. Un point commun à la nourriture persiste à travers tous ses textes, le plaisir gustatif ressentie ou partager par l’écrivain soit par le lecteur. Le prisonnier de Marie Rouanet à travers son imagination, soit Billat Savarin qui nous partage son point de vue sur la gourmandise. Le plaisir peut se construire à travers l’attente, la lecture, le souvenir, chacun le partage de manières différentes. Billat Savarin, nous montre la gourmandise comme un accomplissement ultime, un travail de soit pour atteindre un plaisir exceptionnel et transcendant.
Dans un second temps nous verrons que la cuisine peut être vue comme une œuvre culturelle, et nous découvrirons qu’est ce que le gourmet. Billat Savarin explique le rapprochement entre différent pays ou régions s’expliquant par l’envie de découvrir de nouveaux plat, nouveaux goûts, les apaisants grâce à la nourriture pour mieux s’entendre. Aussi il montre que les gourmands sont héritier d’ancienne et grandiose civilisation à travers différents caractéristique réunit de divers civilisations pour crée un gourmand regroupant élégance, luxe et délicatesse. L’homme peut aussi hériter de sa gourmandise par ses proches, sa famille, comme le montre Michel Onfray dans son écrit, il raconte son « plus grand souvenir gastronomique » qu’il a partagé avec son père, sans lui il n’aurait pas procédé de la même manière pour déguster la fraise et n’en aurais pas gardé un si bon souvenir, surement il aurait perdu énormément de saveur. Le gourmand peut aussi être raffiné, c’est Billat Savarin qui le démontre avec un champ lexical soutenu contrairement à la Bruyère qui présente Cliton, il critique cet homme qui ne vit que pour la nourriture, l’appréciant à l’excès, pouvant écœurer toute personne partageant un repas avec Cliton, malgré son bon goût. Mais ce qui se retrouve le plus souvent est l’aspect convivial de la nourriture, qui réunit les personnes autour d’un plat, d’un aliment pour partager un bon moment et oublier leurs malheurs.
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