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Le Canard Enchaîné, 16 juillet 1917

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Par   •  27 Octobre 2020  •  Analyse sectorielle  •  437 Mots (2 Pages)  •  1 954 Vues

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Le Canard Enchaîné

 16 juillet 1917

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La mutinerie:

Ce matin j’ai reçu un courrier étonnant venant de soldats mutin:

 Camarades, nous sommes trois régiments qui n’avons pas voulu monter en ligne. Nous allons à l’arrière. À nous tous d’en faire autant si nous voulons sauver notre peau. »

j’ai donc décidé  d’enquêter sur les conditions de vie et de combats des soldats pendant la grande guerre.

En lisant une pétition datant du 29 juin 1917 cite par André Loez et Nicholas Offenstadt il y a quelques jours les sous-officiers caporaux et les soldats ont fait remonter une pétition au Colonel du 298e Régiment ayant pour but de ne plus retourner en tranchées,ni d’aller au combat (au front) dans le cas éventuel ou ils recevront des instructions qui leur obligerait d’y retourner.

Les tranchées:

Je suis donc partis rendre visites a quelques familles de combattant qui mont transmis quelques images de leurs époux (frères,cousins,amis...)et quelques témoignages de soldats rentrer a cause de blessures ,appeler les gueule casser la plupart des combattants interroger, nous on affirmer que les conditions de vie était horribles.

Les soldats connaissaient le danger permanent, le froid hivernal, les rats, les poux, le manque d’approvisionnement,les odeurs nauséabondes, l'absence presque totale d'hygiène et le ravitaillement mal assuré, ainsi que la pluie et la boue.

Bien évidemment le plus dur pour les soldats n’était pas le manque d’hygiène, c’était question de sortir des tranchées pour attaquer les soldats ennemis et de ne pas s’en sortir vivants et de ne plus revoir leurs familles.

Les témoignages:

j’ai obtenu d’autre témoignages de soldats français et allemands revenue de la GUERRE DE VERDUN en 1916.

Un soldat français : « La pluie commence à tomber et remplit nos tranchées à moitié [...]. Nous sommes trempés jusqu’aux os, tremblants de froid, et nous souffrons, avant tout, de la faim et de la soif, car nous ne pouvons être ravitaillés. »


Un soldat allemand : « Des odeurs de cadavres s’élèvent des anciennes tranchées françaises ravagées [...]. Quand vient le vent du nord avec son épouvantable odeur de putréfaction ou avec la puanteur des grenades de soufre et de phosphore et quand le feu de batterie reprend, nos nerfs sont remis à rude épreuve. »


Un soldat français : Nous arrivons tout près des Boches et un terrible corps à corps s’engage. Les fusils ne peuvent plus nous servir et c’est à l’aide de nos pelles que nous frappons [...]. Je saigne du nez et des oreilles, je suis fou, je ne vois même plus le danger. »

j’ai également obtenu des photos de combattants blesses appelés les gueules cassés.

Jérôme Canard

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