Critique du Film The Social Network

Critique du film The Social Network

Le film cinématographique The Social Network est un drame biographique réalisé par David Fincher en 2010. Le film est étatsunien, le scénario vient d’Aaron Sorkin inspiré d'un roman de Ben Mezrich, la langue parlée dans le film est l’anglais et les studios de production sont Columbia Pictures.

L’intrigue se caractérise par le lieu où réside Mark Zuckerberg pour ses études, qui est Harvard, la plus grande université et la plus renommée des Etats-Unis. Il est accompagné par sa copine qui se nomme Erica Albright dans un bar durant une soirée. Durant cette soirée la conversation avec sa copine s’est mal déroulée et il finit par partir du bar en étant ivre et en rentrant dans son logement étudiant, il a une inspiration, celle de créer un site dédié aux étudiantes du campus afin de les noter sur leur beauté physique via le biais de photos de ces dernières à leur insu.

Le réalisateur du film David Fincher et très reconnu que ces films sont souvent violent et ont une tendance à être sombre, tel que Alien 3 ou Fight Club. Ici, il n’y aucune grosse scène de violence, il y a des scènes de réflexions telle que la scène où Mark Juckerberg est jugé pour violation de propriété intellectuelle face à son ancien ami Eduardo Saverin. En effet il faut se mettre à la place de Mark pour comprendre pourquoi il a réagit de la sorte.

Dans ce film il n’y a pas de grands acteurs reconnus, il y a simplement un acteur qui est connu en tant que chanteur, c’est Justin Timberlake qui joue le rôle de Sean Parker, l’investisseur de Mark. Le jeu des acteurs semble basique, il n’y a pas de moments très troublants ou exceptionnels, c’est d’une justesse simplissime.

 Le dialogue est à la portée de tous, avec certes quelques termes très informatisés qui nous mettent à la place de ces créateurs et de leur soif de sources d’inspiration.

David Fincher utiliser tous les plans de caméra possibles afin de perdurer le suspens sur le film avec notamment beaucoup de plans américains et de plans moyens, il utilise très peu les plans larges, dû au fait qu’il veut isoler le personnage dans son monde plus que de voir très loin malgré le fait que son concept s’est répandu dans le monde entier.

Au niveau de la bande-son, il y a très peu de musiques pour un film (seulement 7), car le réalisateur ne veut pas forcément qu’on se pointe là-dessus mais plutôt se concentrer et créer une image du monde d’aujourd’hui, un monde à la fois connecté et déconnecté de la réalité.

Mon opinion sur le film reste vague : j’ai apprécié le film tout en pensant que ce drame biographique me laisse présager un avenir pour le moins étrange, selon Mark Zuckerberg, grâce à la technologie on peut se faire tout plein d’amis mais en réalité, il ne comprend pas réellement le sens du mot « ami ». En effet le mot ami vient du mot amitié qui définie un sentiment d’affection entre deux personnes et non pas avec des centaines voir des milliers d’ « amis », et comme le dit l’expression : « Les vrais amis se comptent sur les cinq doigts de la main ». L’amitié se fait en connaissant une personne, en la côtoyant régulièrement et surtout physiquement pour se sentir aimer, serein et surtout, pour ne pas s’isoler et ressentir le bonheur d’être un ami ou d’avoir un ami sur qui on pourra toujours compter quoi qu’il arrive.

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