Les Hirondelles De Kabouls
Compte Rendu : Les Hirondelles De Kabouls. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 11 Octobre 2013 • 397 Mots (2 Pages) • 4 882 Vues
Critique littéraire.
Les détails et l’atrocité de ce livre. Sous le règne des talibans, l’auteur nous décrit la vie de 2 couples à Kaboul. Les 2 hommes sont embrigadés par la doctrine talibane. L’un par la croyance personnelle, l’autre par l’effet de groupe. Quand nous les voyons plonger dans cette dictature sombre et cruel, nous avons de l’empathie pour eux. Les femmes sont justes des objets à Kaboul, elles se font lapidés, elles n’ont aucune liberté, l’homme Taliban est supérieur. Un Taliban a dit à Atiq “aucun homme ne doit quoi que ce soit à une femme. Le malheur du monde vient justement de ce malentendu.”
Ce livre est très réaliste. Les thèmes du livre sont d'actualité : la domination des talibans, la religion, la lapidation, etc. Il y a beaucoup d’interrogations sur le monde et la société des hommes. L’atrocité du régime totalitaire des talibans donne ce coté sérieux et réaliste à ce roman. L’horreur que subissent les femmes nous ramené à la réalité. Il ne faut pas oublier que la guerre de l’Afghanistan a réellement existé et c’est un fait historique. La lapidation et toute ces atrocité étaient bien présentes. Je pense que l’auteur a voulu nous montrer la face cachée de la guerre. Toute la population était touchée.
Métaphore intéressante de l’auteur Yasmina Khadra. Pourquoi avoir appelé ce livre : Les Hirondelles de Kaboul. Comme vous le savez déjà Kaboul est une ville détruite et les talibans régné sur ce territoire, les femmes et homme non Taliban sont maltraités. Ils vivent dans l’horreur. Les hirondelles représentes l’arrivé du printemps qui est en autre représente l’arrivé de l’espoir de pouvoir se libérer de ce régime politique autoritaire. Où la brutalité, la tristesse et la malchance laisseraient place au bienêtre et à la joie. L’auteur utilise aussi la personnification comme: “le vent lorsque il se lève, livre la complainte des mendiants” ou encore: “une tornade déploie sa robe à falbalas.”.
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