Le roman français du réalisme et du naturalisme
Dissertation : Le roman français du réalisme et du naturalisme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ivanap97 • 10 Juin 2019 • Dissertation • 411 Mots (2 Pages) • 513 Vues
Danica Cajić
Le roman français du réalisme et du naturalisme
Résumé n.9
30.05.2019.
La préface de Thérèse Raquin
Dans la préface de cette œuvre de Zola, l’écrivain parle d’abord de ses critiques, ou, pour mieux dire, de ses juges, comment il les appelle. A cette époque-là, quand Thérèse Raquin a été publié, les contemporains du Zola l’on jugé d’avoir écrit une pornographie. Il leur adresse et dit que ce n’était pas sa faute que ses confrères avaient eu la sensibilité d’une jeune fille. Il savait qu’ils allaient toujours juger, donc, il n’a pas payé beaucoup d’attention à des critiques. Cependant, il a écrit cette préface pour s’expliquer et pour nous introduire l’œuvre.
Zola mentionne que dans cette œuvre, il voulait écrire des tempéraments, et non des caractères humains. C’est pourquoi on peut voir beaucoup de descriptions de ses personnages principaux, Thérèse et Laurent, et de ses tempéraments très différents. En écrivant cette œuvre, il a dit qu’il avait oublié le monde, qu’il s’était perdu dans la copie exacte et minutieuse de la vie, me donnant tout entier à l’analyse du mécanisme humain, et il nous assure que les amours cruelles de Thérèse et de Laurent n’avaient pour moi rien d’immoral, rien qui puisse pousser aux passions mauvaises. L’humanité des modèles disparaissait comme elle disparaît aux yeux de l’artiste qui a une femme nue vautrée devant lui, et qui songe uniquement à mettre cette femme sur sa toile dans la vérité de ses formes et de ses colorations.
Il était attaqué par ses contemporains, et il a avoué que cela l’a déconcentré un peu. Il s’est demandé pourquoi ne disent-ils pas que l’écrivain de Thérèse Raquin est un simple analyste, qui a pu s’oublier dans la pourriture humaine, au lieu de toujours dire qu’il était un misérable hystérique qui se plaisait à étaler la pornographie. Il était aussi jugé comme les peintres qui peignaient les femmes nue, et il se sentait comme l’un d’eux. Il disait aussi qu’il était facile de comprendre ce roman, de se placer sur le terrain de l’observation et de l’analyse, de me montrer mes fautes véritables, sans aller ramasser une poignée de boue, il fallait juste être un peu intelligent. Et ces reproches d’immoralité que ses contemporains lui ont adressés, d’après lui, ne prouvaient absolument rien. Il ne s’est jamais inquiété de le rendre plus ou moins chaste.
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