Comment les personnages réagissent-ils face au dépit amoureux ?

Ce corpus est composé de quatre texte de genre commun, le théâtre.                     Le premier texte est extrait de L'école des femmes, 1662 de Molière. Il appartient au classicisme. Le second texte, Le jeu de l'amour et du hasard,1730 de Marivaux. Le troisième, On ne badine pas avec l'amour,1834 de Musset, cet extrait appartient au romantisme. et pour finir le dernier extrait, Huis clos,1943 de Sartre et ce texte appartient à l'absurde. Dans un premier temps nous verrons que dans certains cas les personnages réagissent mal et se mettent en colère puis dans un deuxième temps nous verrons la vengeance amoureuse et la mise en place de stratégie.  Mais comment les personnages réagissent-ils face au dépit amoureux ?

           Premièrement, dans L'école des femmes de Molière et dans Huis clos de Sartre, les personnages ont une réaction commune qui est l'énervement, la colère et ils cherchent à affrontés la personnes qui leurs ont fait du mal.                                                                                                                                                                                                                                                                   Dans le texte de Molière Arnolphe se sent mal " Petit serpent que j'ai réchauffé [...] et qui dès qu'il se sent par une humeur ingrate cherche à faire du mal en question à celui qui le flatte" (l.25,26). Ici celui qui le flatte c'est Arnolphe et le serpent est Agnès. Cette phrase montre bien qu'Arnolphe se sent mal et trahit. De plus il montre encore qu'il se sent trahit car il traite Agnès de traitresse " Ah c'est que vous l'aimez traîtresse"(l.41). Il avait l'espoir de pouvoir de se marier avec Agnés "Oui, mais,pour femme, moi, je prétendais vous prendre"(l.35) et lui fait bien comprendre que c'est elle la fautive en utilisant l'ironie " J'ai un grand tord en effet" (l.27) Mais encore, dans le texte de Sartre Inès elle aussi est en colère. Nous pouvons le voir car elle emplois des phrases exclamatives "Quel enfantillage!"(l.1) "Pas de ça!"(l.15).Elle est en colère et se sent mal car on lui a volée la personne qu'elle aimait "Vous me l'avez voler"(l.2), de plus Inès fait une métaphore entre l'enfer et regarder Garcin et Estelle " Je veux choisir mon enfer, je veux vous regarder de tout mes yeux"(l.15;16) cela montre bien qu'elle vie un enfer face à ce dépit amoureux et qu'elle se sent très mal.

          Deuxièmement, nous pouvons aussi voir que dans On ne badine pas avec l'amour Camille met en place un piège destiné Perdican pour se venger, car il lui fait la cour à elle mais aussi à Rosette ." Si vous ne mentez jamais d'où vient qu'elle se soit évanouie en vous entendant me dire que vous m'aimez?"(l.339;340). Ceci est bien un acte de vengeace car Camille le dit " Moi qui croyais faire un acte de vengeance, ferais-je un acte d'humanité?" (l.276) mais en disant cela elle cherche aussi à se rassurer car elle sait que un mauvais acte.                                                De plus dans Le jeu de l'amour et du hasard Silvia et Dorante mettent en placent des stratégies pour se tester l'un l'autre, mais cette stratégie va mené au dépit et se retournée contre eux car Dorante étant amoureux de Silvia va pensé que celle-ci aime Mario c'est pour cela qu'il va préférer partir. "Adieu Lisette"(l.30) "Adieu"(l.38). Mais il revient et cherche à faire en quelques sortes faire regretter Silvia "Vous êtes sensible à son amour[...] ainsi vous ne sauriez m'aimer."(l.63). Il aime Silvia. Silvia l'aime mais ne le montre pas, donc cela aboutit quand même à un dépit amoureux.        

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