Analyse de la tragédie Andromaque de Jean Racine

INTRODUCTION :

La guerre de Troie fut depuis le 9em siècle av J-C, un sujet évoqué par les auteurs; le 1er à l’avoir fait est le poète Homère. Ce sujet et repris au coure des temps mais il est accommodée au bout contemporain de la société. En effet c’est en 1667, que racine s’inspire de la guerre de Troie et de plusieurs autre source grec et latine pour écrire l’une de ses œuvre les plus importante Andromaque. L’histoire se situe après la guerre de Troie quand Pyrrhus reçoit dans son butin de guerre Andromaque (la femme d’Hector, ce dernier, mort) et leur fils Astyanax. Pyrrhus tombe amoureux d’Andromaque. Les grecs réclament Astyanax à Pyrrhus car ils souhaitent se venger. Dans l’acte Troie scène 8, juste après l’ultimatum de Pyrrhus durant laquelle il menace Andromaque : soit elle l’épouse soit son fils périt, l’auteur nous raconte le dialogue entre Andromaque et sa confidente Cephise qui essaye de la convaincre d’épouser Pyrrhus et de sauver son fils son fils. Mais celle-ci est en opposition avec sa confidente

I) La reconstruction d’un souvenir douloureux.

A) Un passé inoubliable.

- L’utilisation de l’anaphore « dois-je » 3 fois cherche à insister sur le poids du passé et, sur le fait qu’Andromaque ne peut pas l’oublier et qu’elle en soufre.

- Les verbes décrivant Pyrrhus comme un meurtrier sont à l’indicatif présent : « entrant », « se faisant », « échauffant »… elle nous montre la cruauté de Pyrrhus qui est représenté comme un prédateur.

- Les thermes et expression appartenant aux champs lexicale de la destruction : « nuit cruel », « nuit éternelle », « palais brulant » ; « mort » ; « sang » ; »meurent » ; « flamme » ; « fer » ; « crimes ».

B) L’hypotypose

- C’est une figure de style qui consiste à rendre vivant une vision.

- « figure-toi » v.999, « songe »v.1003 « peins-toi »v.1005 « pense-vous » … Ces verbes sont à l’impératif présent, ils sont adressés à Cephise pour la faire immaginer la scene.

- La répétition de « songe »v.997 sert à insister

- C’est une double énonciation, c’est adresser aux spectateurs et a Cephise.

C) Le soupir d’Andromaque.

- Verbes au participe présent « trainé », « renversé », « ensanglante » ; « brulant »… pour prolonger la scène et rendre plus vivante. Ils montrent la souffrance continuelle d’Andromaque et fait ressentir a Cephise les évènements de cette « nuit éternelle ».

- Le registre pathétique, en effet Andromaque fait pitié. L’expression d’émotions intense.

- Les questions rhétoriques : v.991, 992, 993

II) Un dilemme Tragique

A) L’étape de la délibération

- Elle essaye de minimiser Pyrrhus : vers 984 elle dit que c’est une absurdité d’épouser Pyrrhus, elle le caractérise comme ennemie, vers 1000, 1001, 1002

- Elle prend sa première décision au vers 1007 ; 1008 ; 1009.

- Vers

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