Andromaque, Jean Racine

Le 17ieme siècle est le siècle du classicisme. Durant cette époque la forme de théâtre la plus noble était la tragédie. Aujourd’hui je vais analyser un extrait d’une pièce de l’auteur le plus populaire de cette époque Jean Racine (1639-1699). Dans l’acte III de la scène VIII d’Andromaque, Andromaque discute avec sa confidente Céphise. En fait, cette scène illustre le cruel dilemme d’Andromaque. C’est ce que je vais démontrer en me penchant premièrement sur Andromaque qui insiste que le mariage entre elle et Pyrrhus n’a aucun sens, puis je vais discuter du point de vue de Céphise qui maintien que le mariage devrais avoir lieu.

      Premièrement, de son coté Andromaque démontre clairement que cette union n’est pas possible. En effet à l’aide d’une gradation et d’une anaphore Andromaque insiste qu’elle ne peut pas oublier la mort de certaine personne. Le fait d’énumérer des personne tuée <>, <> et le <> en ordre ascendant illustre la gravité de ses actes et a quelle point ses gens était important pour elle. Ensuite l’utilisation d’une anaphore <<[D]ois-je les oublier>>, ,  affirme qu’il est impossible d’oublier les différents meurtre commis contre des gens de son entourage. Tout cela confirme clairement à quelle point la mort de ses gens empêche tout possible sentiment d’amour de se développer envers Pyrrhus.                                                                                                                                                                                    

     Ensuite Andromaque révèle a quelle point les actions de Pyrrhus le rend inapte comme mari. Andromaque raconte que les commis contre sont rend Pyrrhus un ennemie. Pour Andromaque se marier a Pyrrhus la rendrais . Cela Confirme que pour Andromaque Pyrrhus n’est même pas un candidat pour son prochain marie. Les crimes contre sont people sont beaucoup trop grave et impossible à surmonter même si la vie de sons fils en dépend. Il n’y a clairement aucune chance qu’Andromaque mari Pyrrhus après tout les atrocité qu’il a commis.

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