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Zola, Thérèse Raquin

Commentaire de texte : Zola, Thérèse Raquin. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  25 Janvier 2024  •  Commentaire de texte  •  490 Mots (2 Pages)  •  142 Vues

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À la fin des années 1860, Zola commence à mettre en œuvre les principes caractéristiques du naturalisme avec son roman Thérèse Raquin. Cette théorie considère le roman avec un point de vue scientifique, notamment grâce à une étude pousser des tempérament.s. À fin de s’approcher le plus possible de la réalité, il va étudier le texte de Claude Bernard, Taine ou encore Darwin. Thérèse Raquin est donc publié en 1867. Il relate l’histoire de Thérèse, je n’orpheline élevé par 70 Madame Raquin, puis marier à son cousin Camille. C’est alors qu’elle fait la connaissance de Laurent. Les avons décidé de tuer Camille et vivront avec des remords si grand, qu’ils seront pousser au suicide. Cette scène Relax, la scène du crime qui a eu lieu sur une rivière lors d’une promenade embarque au chapitre 10. Nous nous demanderons en quoi cette scène de crime est-elle un point culminant de la violence dans le roman. Premièrement, vous êtes le gérant le cadre spatio-temporelles angoissant, puis nous durant la lutte acharnée.

Pour commencer, la Seine prend place dans un décor inquiétant. En effet, la nuit tombe et le cadre ça cendré. « les dernières lueurs quittent, les hautes branches » Nous indique donc que la nuit va bientôt tomber. Ju utilisation du champ lexical de l’obscurité « crépuscule », « sombre » le témoigne aussi. Au fur et à mesure, plus aucun élément environnant les discernable, « les îles, les coteaux n’était plus que les taches brunes et grises. ». Ce cadre sombre nous provoque de l’angoisse pour la suite. Par ailleurs, Zola décrit la scène dans une atmosphère automnale. En effet, nous retrouvons des couleurs symbolique comme « Brune » et « rouge », mais aussi des éléments comme « branches et brouillard » de plus, le premier personnage apprend la parole et Camille. Là encore, il nous montre une indication sur atmosphère « fiche ! que c’est froid, […] il ne ferait pas bon de piquer une tête dans ce bouillon là ». Cette rivière glacial correspond bien à la saison et nous montre que Camille a aucune chance de survivre. Utilisation de l’automne est un pressage de bord pour la suite. Enfin, la scène serait Tracy. En effet, la barque s’engage dans un lieu « Sombre et étroit». Au loin, « le champ adoucit d’une équipe de canotier » n’est presque plus perceptible ce champ adoucit de nature, joyeuse contraste avec l’ambiance qu’il règne sur la barque. Les trois personnages se sont donc isolé loin de la civilisation. De plus, l’emploi de nombreux complément circonstanciel de lieu « au loin », « on amant », « derrière l’une de ses îles » est un paradoxe avec la scène qui est sur le point de se dérouler car Camille est emprisonné avec ses agresseurs. Ce cadre spatio-temporelles, angoissant, fait monter l’inquiétude et le suspense chez le lecteur. Ce décor nous plonge dans l’atmosphère du crime.

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