Plan détaillé et rédaction du texte de l’une des trois parties de l’argumentation
Dissertation : Plan détaillé et rédaction du texte de l’une des trois parties de l’argumentation. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Karine Perron • 22 Août 2023 • Dissertation • 1 505 Mots (7 Pages) • 211 Vues
Devoir 2H – Plan détaillé et rédaction du texte de l’une des trois parties de l’argumentation
Volet 1 : Le plan détaillé
Veuillez remplir les espaces prévus à cet effet.
INTRODUCTION | ||
Sujet amené | ||
Contexte sociohistorique |
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Contexte littéraire | Courant |
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Caractéristique |
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Contexte personnel | Biographie |
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Thématique de l’ensemble de son œuvre |
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Sujet posé | Maupassant nous présente sa perception de la France durant la guerre franco-prussienne. | |
Sujet divisé |
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DÉVELOPPEMENT : ARGUMENTATION EN TROIS PARTIES | ||
Premier argument principal | ||
Maupassant présente un point de vue personnel sur les valeurs corses. | ||
Argument secondaire | Illustration | Commentaire explicatif |
L’auteur montre le comportement destructeur de la vieille résultant de l’adhésion aux lois de l’honneur corse | Caractérisation du tempérament : « Va, va, tu seras vengé, mon petit, mon garçon, mon pauvre enfant. Dors, dors, tu seras vengé, entends-tu? C’est la mère qui le promet! Et elle tient toujours sa parole, la mère, tu le sais bien. » (p. 180) « Elle ne dormait plus la nuit; elle n’avait plus ni repos ni apaisement; […] elle marchait maintenant, sans repos, dans sa chambre, l’œil toujours fixé sur la côte de Sardaigne. » (p. 181) | Répétition du thème de la vengeance. On y voit dès le début l’obsession. Description énumérative insistant sur l’attitude vengeresse qui amplifie l’affirmation précédente. |
Argument secondaire | Illustration | Commentaire explicatif |
L'attachement de la vieille à la religion. | "Quand elle jugea le temps venu, la mère Saverini alla se confesser et communia un dimanche matin, avec une ferveur extatique..." (p.183) | On peut observer l'attachement de la vieille religion. La veuve est religieuse, elle a l'attitude. Les verbes "confesser" et "communia" démontrent les comportements religieux de la dame. Aussi, la veuve Saverini, va à l'église le « dimanche matin ». Cela démontre son attachement pour les pratiques religieuses. Par ailleurs, "le dimanche matin" est considéré comme le premier jour du Seigneur. |
Deuxième argument principal | ||
Malgré le point de vue subjectif, l’auteur maintient l’objectivité par divers procédés de narration | ||
Argument secondaire | Illustration | Commentaire explicatif |
Le narrateur ne porte pas de jugement sur la vieille, il fait le récit de son comportement | « Quand la vieille mère reçut le corps de son enfant, que des passants lui rapportèrent, elle ne pleura pas; mais elle demeura longtemps immobile à le regarder; puis, étendant sa main ridée sur le cadavre, elle lui promit la vendetta. » (p. 180) | Le portrait de la mère est tracé par l’adjectif « main ridée », qui indique sa vieillesse, les expressions « ne pleura pas », qui montre sa force de caractère, et « longtemps immobile à le regarder », qui révèle son caractère entêté. L’auteur n’a rien expliqué, il s’est contenté de décrire. |
Argument secondaire | Illustration | Commentaire explicatif |
Le narrateur reste objectif sur la description de la ville. | "Sur la montagne blanche, le tas de maisons pose une tache plus blanche encore. Elles ont l'aire de nids d'oiseaux sauvages, accrochées ainsi sur le roc, dominant ce passage terrible où ne s'aventurent guère les navires. Le vent, sans repos, fatigue la mer, fatigue la côte nue, rongée par lui, à peine vêtue d’herbe ; il s’engouffre dans le détroit, dont il ravage les deux bords. Les traînées d’écume pâle, accrochées aux pointes noires des innombrables rocs qui percent partout les vagues, ont l’air de lambeaux de toiles flottant et palpitant à la surface de l’eau. "(p.179) | Le narrateur reste neutre dans sa description de la ville. Dans cet extrait, le raconteur décrit les caractéristiques de Bonifacio en toute objectivité. L’énumération insiste sur les aspects de la ville, elle a pour but de décrire le paysage. Dans ce passage, Maupassant se contente d'énoncer l’apparence de l’environnement, sans manifester son point de vue. |
Troisième argument principal | ||
La vieille vit des émotions négatives à cause de la mort de son fils. | ||
Argument secondaire | Illustration | Commentaire explicatif |
La vieille est envahie par la tristesse. | " Quand la vieille mère reçut le corps de son enfant, que des passants lui rapportèrent, elle ne pleura pas, mais elle demeura longtemps immobile à le regarder; puis, étendant sa main ridée sur le cadavre, elle lui promit la vendetta." (p.180) " Elle ne bougeait pas plus que la mère, qui, penchée maintenant sur le corps, l’œil fixé, pleurait de grosses larmes muettes en le contemplant. " (p.180) | La juxtaposition « elle ne pleura pas, mais elle demeura longtemps immobile à le regarder; puis, étendant sa main ridée sur le cadavre » intensifie la réaction tragique et bouleversante de la vieille face à la mort de son fils, elle a pour effet d'apporter de manière simple et précis les actions posées par la vieille dame, devant le cadavre du jeune homme.Aussi, elle a pour but de démontrer le chagrin et de la nostalgie éprouvés par la dame face au corps défunt de son enfant. L’hyperbole « grosses » amplifie l'intensité des larmes de la dame, elle démontre la profonde tristesse de la vieille, suite à la mort d’Antoine. |
Argument secondaire | Illustration | Commentaire explicatif |
La vieille à soif de vengeance. | " Va, va, tu seras vengé, mon petit, mon garçon, mon pauvre enfant. Dors, dors, tu seras vengé, entends-tu ? C’est la mère qui le promet ! Et elle tient toujours sa parole, la mère, tu le sais bien. " (p.180) | La répétition « Va, va tu seras vengé, mon petit, mon garçon, mon pauvre enfant. Dors, dors, tu seras vengé » insiste sur le désir de la vieille de rendre justice à son fils, elle a pour but de démontrer que la douleur provoquée par la mort de son petit entraîne une émotion vengeresse chez la dame. |
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