« La déclaration des droits de la femme et de la citoyenne », Olympe de Gouge, 1791
Fiche de lecture : « La déclaration des droits de la femme et de la citoyenne », Olympe de Gouge, 1791. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar nabitou.diaby • 22 Mars 2023 • Fiche de lecture • 1 860 Mots (8 Pages) • 246 Vues
Lecture linéaire 4
Tout d’abord, le texte que nous allons abordé est tiré du livre « La déclaration des droits de la femme et de la citoyenne », écrit par Olympe de Gouge en 1791. Olympe était une combattante, pour les droits de la femmes.
Pour commencer, de la ligne 1 à 6 : Olympe décrit la femme aux yeux du gouvernement français. De la ligne 6 à 11, elle critique le travail des hommes dans la politique et montre que après la révolution les hommes sont méprisé. De la ligne 12 à 14, Olympe fait des remarque sur l’ancien régime et fait constations d’un nouveaux régime améliorer mais avec comme même des anciens vices qui refont surface. De la ligne 14 à 17, elle montre la seul manière dont les femmes peuvent avoir une place dans la société : avec leurs charmes. De la ligne 17 à 19, Olympe remarque que la seul manière que la femmes se fassent respecter c’est avec de l’argent. De la ligne 19 à 24, elle dénonce la corruption des femmes par les hommes, qui les considère comme des esclaves. De la ligne 24
Lecture ligne par ligne :
Ligne 1 : Olympe décrit comment le gouvernement voit les femmes, c’est-à-dire des femmes qui provoquent que du mal autour d’elle « les femmes ont fait plus de mal », ici on a l’imparfait « fait » qui signifie que l’action est répété ou habituelle. De plus on a un superlatif « plus de mal que », qui souligne le fait que les femmes font beaucoup de mal. Dans la deuxième phrase on a l’impression que Olympe fait de l’ironie, car le « partage », n’est ni un contrainte ni une dissimulation.
Ligne 2 : Dans cette ligne Olympe mais un valeur les compétence de la femme, elle dit « la force leur avait ravi, la ruse leur a rendu », dans ce passage, elle loue la ruse de la femme, pour montrer que la force ne fait pas tout. De plus on a la répétitions du pronom personnel complément « leur » et à la suite le verbe « avoir » (au présent et à l’imparfait). On a donc une anaphore de « leur » + avoir, pour insister sur le faite que la force ne leur a pas été donner mais qu’en revanche la ruse oui.
Ligne 3 : Dans cette ligne Olympe déclare que la seul ressources pour avoir une place dans la société était d’avoir du charme. Puis dans un autre passage Olympe utilisent de l’hyperbole pour montrer que le fond de la femme de compte plus ce n’est que le charme féminin qui est compter pour le gouvernement. Elle exagère donc sur le faite que « le plus irréprochable ne leur résistait pas », car il sont aveugler par le charme de la femme.
Ligne 4 : Ici, Olympe met « le poison » et « le fer » en commun car ce matériel et cette substance sont la raison de plusieurs tragique décès. En effet, le poison tue ainsi que le fer (les armes blanches). Ensuite, elle compare le crime et la vertu, pour montrer le « danger de la femme, cette comparaison fait référence au commandement du crime de la femme.
Ligne 5 : Olympe déclare que le gouvernement dépend de la femme depuis des siècles à leur administration nocturne, Olympe reprend donc les clichés de femmes (elles entreprennent des relations nocturnes) elle montre donc que c’est le charme qui compte. On a donc une personnification sur « administration nocturne », qui veut dire les relations amoureuses entre les gouverneurs et les femmes « charmante ».
Ligne 6 : Elle dénonce indiscrétions des « administrations nocturne », en effet Olympe parle de « cabinet » qui fait référence aux bureaux de travail des gouverneurs, elle déclare donc que les administration nocturne ne sont pas une découverte.
Ligne 7 : On a un commencement de champs lexical sur le gouvernement. En effet, pour proclamer que les hommes gèrent mal le pouvoir Olympe de Gouge décrit leur régime, puis y ajoute que c’est un régime ridicule.
Ligne 8 :Ici, Olympe loue les hommes avec une suite d’adjectif « profane », « sacré », « ambitieux » et « cupide », elle loue donc les points fort des hommes.
Ligne 9 : Olympe fait comprendre qu’avant la révolution française les hommes était respecté mais qu’après ils étaient méprisé. Donc cela montre que les femmes méprise les hommes, mais principalement ceux du gouvernement.
Ligne 10 : C’est la première phrase du paragraphe et il introduit la révolte d’Olympe de Gouge. En effet, Olympe déclarent « que de remarques n'ai-je point à offrir », ce qui montrent qu’elle est révolter et sa détermination à dire se quelle pense du gouvernement.
Ligne 11 : Ensuite, Olympe crée du suspense en louant ses parole avant de les avoirs dites « ce moment fixera l'attention de la postérité la plus reculée », ainsi elle essaye d’attirer l’attention au lecteur afin qu’il soit préparer à entendre ces critiques. De plus, elle délimite son temps de « parole » , « Je n'ai qu'un moment » se qui montre que la duré sera courte.
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