Explication linéaire sur La Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne d’Olympe de Gouge
Synthèse : Explication linéaire sur La Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne d’Olympe de Gouge. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Samy29 • 8 Mars 2023 • Synthèse • 1 431 Mots (6 Pages) • 355 Vues
Je vais vous présentée mon explication linéaire sur la Déclaration des droit de la femme et de la citoyenne d’olympe de gouges datée de 1791.
Tout d’abord je vais vous en dire plus sur l’autrice qu’est Olympe de Gouges, c’est une écrivaine au idée révolutionnaire, on dit d’elle que « ce qu’elle écrit elle le vit et y croit » elle et ses idée ont du mal à se faire accepter car nous sommes au 18ème siècle dans un contexte de totale révolution politique, où l’égalité est appliquée à seulement une partie de la population. De ce fait, engage dans une cause qui lui tient à cœur qui est l’égalité homme/femme elle vas réaliser en 1791 une totale réécriture de la Déclaration des droits de l’homme de du citoyen qui est nommé la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne.
Dans son texte didactique, elle rectifie les droit et devoirs de la femme qui sont oppressé et considère comme inférieur à cette époque. Elle souhaite une autre organisation de la société, pour celà, l’auteure vas s’appuyer sur le pouvoir qu’à la Reine Marie Antoinette en lui adressant une lettre.
Nous pouvons donc nous interroger en quoi la lettre d’olympe de gouges cherche t-elle à rallier la Reine à son combat pour l’égalité des sexes ?
Ainsi, nous étudierons en premier lieux la forme polémique qu’elle donne a sa lettre, puis nous nous pencherons sur la légitimation de la réforme féministe et enfin on s’interrogera sur l’invitation d’olympe de gouges au changement social.
Comme on peut le voir de la ligne 1 à 7, cette introduction pose la légitimité et la franchise d’olympe de gouges. On remarque la forme particulière de cet écrit intitulé « à la Reine »
De plus, elle utilise le futur qui permet d’adopter une valeur de projection. Olympe veut donc à travers des projection tenter de persuader la Reine à participer à un nouvel ordre.
Olympe s’adresse à la Reine en tant que femme à femme et non pas comme courtisante ou hypocrite qui vont flatter de manière excessive la Reine comme elle nous le dit à la ligne 3 et 4 « je n’emploierai point l’adulation des courtisans », nous sommes sur un pied d’égalité et sur une relation entre femmes. Elle le souligne aussi avec la phrase « peu faite au language que l’on tient aux rois ».
L’auteur parles à la Reine avec franchise contrairement au courtisans comme elle le prononce a la ligne 5 « je vais vous parler franchement »
Olympe a une vocation de se légitimer, ainsi elle s’assume à travers ce premier mouvement de texte. De la ligne 6 à 7, elle s’identifie en tant que penseuse et non opportuniste « je n’ai pas attendu », « je me suis montrée ».
Avec la périphrase à la ligne 6 « époque de la liberté » elle illustre l’événement de la révolution quant au thermes de despotes utilisé ligne 7 qui dénonce l’obscurantisme du pouvoir. Elle utilise aussi à plusieurs fois la dénomination « Reine » pour illustrer le pouvoir monarchique. Elle ne critique ainsi pas que la souveraine mais tout le gouvernement entier.
Par la suite, elle utilise le champs lexical du courage au travers des mots « énergie » et « audace » ligne 6 et 7. Par cela elle met en valeur sa détermination et son courage, de plus l’adverbe d’intensité « si noble audace » à la ligne 7 permet de continuer son éloge personnel.
Olympe de Gouges se sent pleinement en droit de parler à cette autorité, cette lettre fait office d’une réelle justification de son écrit.
Ensuite, des lignes 8 à 20, on pourra voir le laxisme et l’inaction de la Reine face à la cause féminine, de ce fait l’auteure lui rappelle ses lourdes responsabilités politiques en lui donnant quelques conseils.
Pour cela, on relève une proposition circonstancielle de condition « Si en France » ainsi que l’usage du présent avec le verbe « porte » à la ligne 8 ce qui nous montre l’imminence de la situation et l’urgence de stopper ce complot royale.
Avec la métonymie « le fer en France » ligne 8, le fer fait référence au armes et donc à une autre révolution potentielle si les choses ne change pas.
On peut voir aussi que l’estime de l’auteure vis à vis de la Reine dépend de ses agissements. Lorsque qu’elle agis meliorativement, elle lui attribue le juste patronyme de Reine. Par exemple
à travers des phrases mélioratives ligne 8 et 9 « Reine intéressante » et « Reine faussement inculpée ».
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