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Dissertation les fleurs du mal: le poète est-il contraint à n'exprimer que la beauté ?

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Par   •  18 Avril 2023  •  Dissertation  •  677 Mots (3 Pages)  •  267 Vues

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Devoir de français

        "la beauté est dans les yeux de celui qui regarde" comme le cite Oscars Wild. C'est pourquoi la réponse à la problématique suivante    est assez subjective.

        En revanche nous observons que depuis sa création la poésie permet à grand nombre de poète de retranscrire leur idée ainsi que leur sentiment par le biais de celle-ci.

Seulement, nous nous demanderons si le poète est restreint de retranscrire unique la beauté.

        Dans un premier temps, nous allons voir comment la beauté d’un caractère peut parfois être exprimé de manière subtile. Puis ensuite, vérons que la beauté bien quel soit presque omniprésente, peut être négligé.

        Pour commencer, nous allons voir que le poète exprimé bien souvent la beauté mais que parfois sa mise en valeur peut être subtile.

        Dans un premier temps, nous pouvons observer à travers de nombreuses œuvre que la beauté peut être exprimées par la forme du poème et que cette forme joue un rôle important.

Parmi ces formes nous pouvons retrouver l’alexandrin ou encore le pentasyllabe qui sont deux types de vers très noble utilisé par exemple dans les poèmes « j’aime l’araigne j’aime l’ortie » de Victor Hugo ou encore « le cageot » de Francis Ponge.

        De plus, il n’y a pas que la forme du poème qui impacte la beauté de celui-ci.

En effet, nous constatons que le fond des idées transmise par l’écrivain sont toutes aussi crucial.

Par exemple, le poème « Le cageot » dans laquelle l’auteur fait l’éloge paradoxal d’un objet, le décrivant tel une chose éphémère pareil à l’homme le rend ainsi beau par cette caractéristique.

Mais également dans un parcours associé intitulé « la boue et l’or » dans lequel l’auteur dit : « donner moi de la boue et j’en ferais de l’or » rendant ainsi le poème beau le tous par le biais d’une certaine alchimie poétique.

        

        Ensuite, après avoir observé que le poète exprimé bien souvent une certaine forme de beauté à travers ses œuvres, nous allons voir que malgré sa presque omniprésence, la beauté peut tous aussi bien être négligé.

        Tous d’abord, reprônons notre première idée qui s’avèrent contradictoire à ce que nous allons montrer.

En effet nous avons dit que la forme était cruciale et bien que nous ayons vue que les vers en alexandrins ainsi que décasyllabes était d’un caractère plutôt noble, il existe également des vers en pentasyllabe d’un caractères moins élégant et plutôt opposé au précédent.

Comme dans le poème « j’aime l’araigne j’aime l’ortie » de Victor Hugo ou le poète utilise une forme hétérométrique et vient cassé la beauté du texte avec l’utilisation des vers en pentasyllabes.

        De plus, la encore nous venons faire opposition à notre deuxième idée montrant que, bien que la description puisse relever d’une certaine poésie et d’une beauté, elle peut tout aussi bien être de nature répugnante. Prenons par exemple le poème « une charogne » de Baudelaire dans laquelle l’auteur fait la description d’une bête dévorant la carcasse d’un animal mort ceci rendant le poème d’une nature repoussante.

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