Carmen, Prosper Mérimée

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Carmen, nouvelle écrite par Prosper Mérimée, auteur du 19ᵉ siècle, est paru en 1845. Cette nouvelle est une tragédie qui mélange amour, passion et jalousie entre une sublime bohémienne et Don José un homme qui par amour pour elle commit des actes irréparables. Dans une première partie, nous allons trouver les points communs entre le schéma narratif de Carmen et celui de Manon L'Escaut. Dans une deuxième partie nous verrons à quel moment l'auteur condamne la passion dans la nouvelle. Dans une troisième partie, nous allons voir que Carmen peut être considérée comme une femme fatale. Puis dans une quatrième partie, nous verrons que cette nouvelle répond parfaitement à l'intitulé du parcours.

           Tout d'abord, nous allons voir dans une première partie, les points communs du schéma narratif entre carmen et Manon Lescaut. Les points communs que nous pouvons relever entre les deux schémas narratifs sont dans l'élément perturbateur puis dans le dénouement. Premièrement dans l'élément perturbateur, parce que dans les deux livres cela représente la rencontre entre la femme et le personnage principal qui met en avant la présence du coup de foudre. Puis dans le dénouement parce que cela représente dans les deux livres, la mort de la femme au côté de celui qui l'aime. Mais leur mort n'est pas la même pour Carmen que pour Manon. Carmen meurt tuer par Don José tandis que Manon meurt d'épuisement par sa fuite avec le chevalier des Grieux.  

            Dans une deuxième partie, nous verrons les moments où l'auteur met en évidence la condamnation de la passion dans la nouvelle. Cette condamnation commence avec la jalousie de Don José pour Carmen. Sa jalousie née à cause de l'infidélité de Carmen envers lui parce que Carmen voyait d'autre homme dans son dos. Cela entraîne la mort des autres amant de Carmen par Don José. Puis par la suite, ce sera la mort de Carmen qu'il condamnera sa passion. Ici, c'est sa passion qui le poussa à la tuer, car Carmen est une femme incapable d'aimer et indépendante. Et Don José qui par amour ne peut lui désobéir la tue et emporte sa passion avec elle.

          Pour continuer, dans une troisième partie, nous allons voir que nous pouvons considérer Carmen comme une femme fatale. Nous pouvons considérer Carmen comme une femme fatale parce que Carmen incarne la femme irrésistible. Premièrement, on le voit pour son côté femme libre pour le fait qu'elle ne se laisse pas soumettre que ce soit par les hommes puisqu'elle ne veut pas se faire commander sa vie ou par la loi, car elle ne la respecte pas. Cependant, être une femme libre fait qu'elle est incapable d'aimer. Mais Carmen est aussi une femme séductrice, elle utilise son charme pour pouvoir séduire les hommes pour les manipuler ensuite à sa guise. On le voit avec Don José qui devient contrebandier et devient meurtrier par jalousie et par amour pour Carmen.  

         Puis pour finir, dans une quatrième partie, nous verrons que cette nouvelle répond parfaitement à l'intitulé du parcours qui est "personnage en marge et plaisir du romanesque". Elle répond à l'intitulé tout d'abord pour le fait que carmen est un personnage en marge parce que Carmen est une bohémienne qui montre qu'elle s'exclue de la société puis elle ne respecte pas la loi donc elle est en marge des codes. Ainsi Don José devient lui aussi un personnage en marge parce qu'à cause de son amour pour Carmen il devient contrebandier donc s'exclue lui même de la société. Et il est aussi en marge des codes, car il transgresse la loi. Puis cette nouvelle représente aussi "le plaisir du romanesque" parce que ce récit met en avant les péripéties amoureuse entre deux personnages. Cela permet au lecteur d'avoir de l'aventure pour s'évader dans l'histoire. Et avec le narrateur qui raconte cela nous permet de nous plonger encore plus dans l'histoire.    

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