Balzac, La peau de chagrin
Analyse sectorielle : Balzac, La peau de chagrin. Recherche parmi 301 000+ dissertationsPar elina_bnh • 27 Février 2025 • Analyse sectorielle • 436 Mots (2 Pages) • 20 Vues
Lecture linéaire guidée extrait 2 « Peau de chagrin » /fin de la 2de partie /tableau à compléter par groupes (7 groupes de 4)
Plan du texte : on part du SENS de chaque « partie » | Dans chaque partie, on dégage le sens de chaque court passage | Eléments de commentaire : sens de certains mots, étymologie si nécessaire, références diverses, symboles, etc… ; analyse et interprétation des procédés d’écriture au service du sens ; relevés à faire directement avec des stabilos sur la photocopie qd c’est possible, ou dans le tableau qd c’est nécessaire |
I) Raph constate que la peau a rétréci (l.1 à 6) | a) Il mesure la peau (l. 1-4) | |
b) Les autres personnages se méprennent sur sa réaction (l. 5/6) | ||
II) choc et prise de conscience (l. 7 à 16) | a) La présence de la mort (l. 7 à 10) | Enumération : « ses traits se contractèrent, les saillies de son visage blanchirent, les creux devinrent sombres, le masque fut livide, et les yeux se fixèrent. » -> cela appuie sur le choc de la révélation : la peau de chagrin fonctionne et sa vie réduit au fur et à mesure qu’il désire Typographie de la MORT : renvoie à sa prise de conscience, sur l’omniprésence du sort due à la PdC CL de la pâleur : « Une horrible pâleur » ; « les saillies de son visage blanchirent » ; « le masque fut livide » -> renvoie à la présence de la mort. Emploi du passé simple : « blanchirent, devinrent, fut » : réaction instantanée vers une figure de cadavre : la simple pensée qu’il va mourir entraine une réaction directe. Antithèse : « agonie de la joie », contraire entre l’état de Raphael c « masque livide… » = cadavre et le décor « courtisane, visage rassasiée » / Raphael vit un enfer personnel dans un bonheur illusoire et matériel. Description réaliste de Raphaël, celui-ci se sent mal, nous voyons le choc sur son visage : « Une horrible pâleur, figure flétrie de cet héritier : ses traits se contractèrent, les saillies de son visage blanchirent ( il apparait comme un fantôme , un mort), les creux devinrent sombres, le masque fut livide, et les yeux se fixèrent » Rîmes « figure fléchie » pour accentuer le fait que son visage est recroquevillé sous le choc. |
b) La vérification (l. 10-12) | ||
c) La prise de conscience (l. 12 à 15) | ||
III) le rêve d’une vie sans désir (l. 17 à 21) | a) l’utopie paysanne (l. 16 à 19) | |
b) La réalité (l. 19/20) |
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