Analyse "Le mal" A.Rimbaud

AL 2 : Le Mal

Conseil de lecture:

-Adopter un ton de plus en plus accusateur--» fin du sonnet

/!\ vers 7 et 8 rupture

-1 seule phrase

Plan:

 1-6 ---> scène de bataille

7-8---> parenthèse

1-14---> comportement indiférrent, cupide de Dieu

1-6: Tableau d’une scène de bataille

1. Horreur de la bataille

Dès le premier vers le lecteur ressent l’horreur du combat: métaphore--> les balles sont comparée au «crachats rouge» c’est un HYPALLAGE( comprendre autre chose: préter les caractéristique d’un élément à un autre élément) ici le «rouge» représente le corps des soldats ensanglanté

Il y a une personnification la mitraille qui crache.

Il y a deux sens présents:

-la vue: «rouge»

-l’ouïe: «sifflent»

Il y a une allitération en R et une assonance en A--> HARMONIE IMITATIVE ce qui permet au lecteur de visualisé la scène = representation la violence

Impression que la bataiille est expliqué démeusurément=> tonalité épique

Il décrit à la façon d’un tableau: importance des couleurs

Procéder d’amplification: «infini» (V2) et «tout le jour» (V2)

1. Une scène épique

Anaphore: «tandis que» fait durer le combat et contraste «tandis que» = alors que

Nombre de combatants V6 : pluriel «les bataillons» = homme indiférenciés: «en masse»

1. Extrème violence

Contraste «rouge» du sang// couleurs vives

Arthur Rimbaud joue sur les couleurs=> poème visuel

Annimalisation+ personification «mitraille//sifflent»

À l’inverse: les homme sont déshumanisés--> ils ne sont pas reconnus «en masse»

Ils sont réduit à la couleur de leurs uniformes «vert»= Allemands «écarlate»= Français

Disparaissent dans le feu de la bataille

Vers 6:

«Et fait de cent milliers d’hommes / un tas fumant»

          [pic 1]

            Diérèse

8 syllabes>4syllabes= rythme décroissant = disparition des soldats

On ne parle pas de la douleur des soldats --> on ne parle que de la violence de la bataille

1. Une seule présence humaine: le roi

«Roi»mis en valeur par la majuscule (V3) suggèrs sa grandeur + contraste le roi semble indifférent au combat qu’il à provoqué, il n’éprouve que du mépris par les perte humaines «qui les raille»

Le poète prend position = il exprime sa révolte

/!\ rimes en antithèse

Le poète dénonce=> périphrase métaphorique guerre= «folie épouvantable»

Elle personifie car sujet du verbe broyer + casse le rythme régulier du vers (pas de césure)

Poème= enjambemment= violence rien ne l’arrête

7et 8 : rupture Invocation à la nature

Suspend le récit de sa bataille, car ol ne peut pass s’empêcher d’intérvenir=> ponctuation (les tirets V7 et 9, point d’exclamation= donne sn recentis)= tonalité pathétique

*indignation, compation: «pauvre» adjectif qualificatif = conotation affectif= antéposé

«nature» apostrophe-> enjambement rejet V8

Éloge de «nature» => action «fis saintement»=> supposé action positif

Pour Rimbaud la nature est sacrée créatrice à l’inverse de l’action des hommes qui détruisent ce que la nature

V7 => rythme ternaire = étendu de l’action de la nature=> paradis; vacances conote le bonheur.

Arthur Rimbaud rend hommage à une nature belle/généreuse

=> forec créatrice: donc force DIVINE

V6 et V8 parrallélisme de construction (même son + répétition «homme»)= opposition action nature/ Roi accentué par la rime «fumant» «saintement»

nature= havre de paix pour Rimbaud = prière «ô toi qui fis» ô est vocatif

=changement complet

TRANSITION: evocation de la nature millieu du sonnet entre 2 abération humaine:

- guerre (décrit dans les quatrins)

-l’église (pas la religion mais l’Eglise)

9-14:  comportement indiférent et cupide de dieu

1e tableau scène de la guerre= exterieur masculin

2e tableau Eglise= interieur feminine «mère» V12 + intime

Allitération en S = plus douce + intime

Notation visuel=> couleurs «damasée»; «d’or» conotation luxe+ richesse// «noir»= pauvreté couleur conotent zone lumineuse

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