Lecture linéaire français sur Manon Lescaut

ntro : voir drive

Lecture expressive

Plan :

I) L1 à 6 : DG tente de persuader son père de l’aider

II) L7 à 10 : une réponse inflexible

III) L11 à 19 : la rupture définitive et tragique

Problématique : en quoi cette rupture est-elle tragique ?

2ND partie : fin : DG libérer de prison par son père découvre que manon va être déporter en Amérique; fixe à rdv avec son père au jardin in du Luxembourg pour demander a son père de faire libère manon : rupture définitive entre le prêt et Dg

Perso principal : DG : dans toute tragédie le perso principal est quasi tt le temps coupable, vers la fin le héros responsable, fautive finit par avouer qu’il est le coupable et qu’il mérite d’être puni ; à partir de la le perso principal devient un héros tragique. Il s’auto-puni : suicide…

Quand il rompt avec son père il décide d’arrêter de dire « qu’il n’est pas coupable » donc il devient autonome, il fait ses choix, il abandonne tout.

1ere partie (l1à6): DG tente de persuader son père de l’aider

2eme partie (7à10): le père refuse d’aider son fils (gestuels + paroles)

Réponse inflexible

3eme partie (l11à19): la rupture

Comment cette extrait met-il en scène la rupture entre DG et son père ?

En quoi cette rupture est-elle tragique ?

En quoi Dg s’affirme t-il en tant que personnage marginal ?

1ere partie :

Supplication physique : « Je » =récit rétrospectif, souvenir passer : passer simple « jetai a ses genoux » = action de premier plan, vb d’action, description physique de supplication. « En les embrassant » = gérondif = action vivante) « mes pleurs » = mise en scène théâtrale pour supplier son père.

Supplication par la parole : discours rapporté : discours direct = « présent d’énonciation, les deux point, la virgule, interjection : « ah » ; « hélas », point d’exclamation, interrogation, suspension = ponctuation qui exprime une forte émotion de regret, de la tristesse, de dépit.

Phrase courtes / enchaînement

Plaider sa cause, tenter de le persuader : si : proposition subordonnée d’hypothèse, « négation totale : ne point sur le vb endurcir = tu es gentil, tu peux m’aider

Antithèse : dureté, pleurs.

« Songer » parallélisme sur des impératifs = de conseils

C.L de la famille = mère = insiste sur la corde sensible affective : apitoyer

« Dans vos bras » Métonymie pour le lien filial, amour.

« Souvenirs » ton nostalgique, souvenez vous de ma mère, phrase suivante : analepse, aimiez, tendrement, si pour insister et phrase exclamatives, rappelé au père combien il aimait sa mère.

Champs lexical de l’amour : amour tendre.

Champs lexical de la violence : on vole la mère au pérennité, donc l’amour de sa vie au père.

« Jusqu’à la mort » : hyperbole, procédés pour mettre en évidence l’amour du père envers la mère.

Analepse affective.

Il fait tout pour que son père l’aide.

Deux questions rhétoriques : dans le sentiment, persuasive

Il crée un parallèle

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