Manon Lescaut, carnet de lecture

Manon Lescaut

Carnet de lecture

Dans ce roman, il y a deux narrateurs :

Le narrateur principal est Renoncour, un homme de qualité. Il est narrateur au début du livre, il « présente » le roman au lecteur puis rencontre et laisse sa place au narrateur secondaire qui est le chevalier des Grieux. Celui-ci est l’amant de Manon Lescaut, il raconte son histoire est fait donc la narration dans les trois quarts du roman.

Au début du roman, le narrateur principal raconte la première fois où il eut rencontré le Chevalier Des Grieux : «  Je suis obligé de faire remonter mon lecteur au temps de ma vie où je rencontrai pour la première fois le Chevalier Des Grieux. » (ligne 1-2)

Il rencontra le chevalier six mois avant so départ pour l’Espagne, celui-ci voyageait pour le plaisir de sa fille. Lors d’un voyage où il revenait de Rouen, il s’arreta a Pacy et décrouvit le village en alarme. Le narrateur s’informa auprès d’un archer et apprit qu’il s’agissait d’une douzaine de filles de joie conduiteau Havre-de-Grace afin d’etre embarquées pour l’Amérique. Celui-ci, curieux, descendit de son cheval et resta troublé à  la vue d’une de ces femmes « Sa tristesse et la saleté de son linge et de ses habits l’enlaidissaient si peu, que sa vue m’inspira du respect et de la pitié. » (lignes 39-41).

En tentant de decouvrir le sort de cette jeune femme ; il découvra qu’un homme ne cessant de pleurer la suivait depuis Paris. Le narrateur toujours aussi curieux se dirigea vers le jeune homme malheureux pour lui demander plus d’information sur son histoire. Mais l’homme lui expliqua qu’il ne pouvait pas lui dire qui elle est sans se faire connaitre ; or, il cherche a rester dans l’ombre. Mais cependant, il avoue qu’il est fou amoureux d’elle et qu’il doit payer les archers pour rester auprès d’elle (il s’est ruiné).Il explique également qu’il a tout fait et ferait tout pour elle : « J’ai tout employé, à Paris pour obtenir sa liberté. » (lignes 74 – 75) « Je m’embarquerai avec elle. Je passerai en Amérique. » (ligne 77)

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