Analyse d'Antigone de Jean Anouilh
Cours : Analyse d'Antigone de Jean Anouilh. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Jaddahdal • 27 Juin 2023 • Cours • 415 Mots (2 Pages) • 214 Vues
Créon avait prononcé une sentence injuste contre Antigone, ce qui a conduit au soulèvement d'Hémon contre son père, et leurs idées étaient opposées au concept de justice en termes de droit de l'État et de principes humains. Créon considère la gouvernance comme un objectif de donner des ordres, ni plus, ni moins, quelles que soient les règles et les ordres imposés au peuple d'obéir et de se soumettre. Par exemple, en parlant d'enfants : « Si les hommes désirent avoir des enfants dans leur demeure, […] qu'ils honorent ses amis autant que lui-même » (p.23,l.2-5) À l’aide de cette phrase métaphore, Afin de montrer son point de vue, il a souligné que le désir des hommes d'avoir des enfants est d'aider leurs parents et de leur obéir, quelles que soient leurs décisions. Le peuple doit également appliquer les lois émises par le dirigeant et l'État, quelle que soit la décision. De plus, noter ici son dicton: « mais celui qui viole insolemment les lois et qui pense commander à ses chefs, ne sera point loué par moi » (p.23,l.20-22) Le roi a indiqué en disant que les lois édictées par l'état sont importantes, et quiconque les violera sera puni, ce qu'il entendait par ses paroles Antigone qui n'a pas acceptée d'obéir au jugement de son frère et a tenté d'imposer sa décision croyante qu'elle avait suffisamment d'autorité pour dicter au souverain ce qui devait être fait. La discussion est passée d'une affaire de jugement injuste contre une personne à une conversation sur la façon dont un fils dit à son père quoi faire. Hémon a répondu en disant : « […] Si je suis jeune, il convient que tu considères mes actions, non mon âge » (p.24,l.27-28)en utilisant l’euphémisme, Créon se moquer de son fils, car le souverain n'a pas accepté d'écouter son fils à cause de son jeune âge, pensant que son fils était imprudent et inexpérimenté dans la vie. À cet égard, Hémon considère que l’homme : « Il n'est point honteux à un homme, quelque sage qu'il soit, de beaucoup apprendre [...] Vois comme les arbres, le long des cours d'eau gonflés par les pluies hivernales, se courbent afin de conserver leurs rameaux [...] » (p.24,l.8-14) Utiliser la comparaison entre un homme sage et un arbre qui se penche pour protéger ses branches. Son père a fait valoir qu'il n'hésitait pas à apprendre et à changer ses pensées s'il n'en était pas sûr.
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