Introduction texte Lettre au marquis de Newcastle

Explication du texte 1 p30 du livre

Le texte soumit à l’étude est La lettre au marquis de Newcastle écrit par Descartes. L’auteur, interroge la notion de langage, plus précisément, il se demande si ce dernier, témoin de la pensée humaine est exclusivement un privilège de l’Homme ? C’est à cette question que répond l’auteur en soutenant la thèse que le langage, est une propriété réservé à l’homme et que malgré certains systèmes de communications animales, celui de L’Homme comporte des caractères particuliers.   Dans une première partie Descartes propose une définition du langage, il met en avant l’idée que nous sommes dotée d’une âme, d’une conscience et qu’ainsi notre langage qu’il soit oral ou par le biais de signes pour certains n’est pas seulement l’expression de nos passions mais aussi de nos pensés. Dans un seconde paragraphe, l’auteur fait un constat, à savoir, que notre langage nous exclu de l’animalité.  En effet pour Descartes, certains animaux ont un langage, ils s’expriment mais seulement pour exprimer des passions comme des cris de joie, de détresse...ou parce qu’ont leur aurait appris. Tous les mouvements ou les expressions des animaux ne seraient en réalité que le résultat d’un apprentissage par l’Homme et associé a une passion. Reprenons l’exemple d’un perroquet qui répète un mot, il ne le fait pas pour traduire une pensée mais parce qu’il exprime une passion, celle de manger la friandise donnée après en cadeau à l’animal. De ce fait les animaux n’expriment pas des pensée mais des besoins à la grande différence de l’Homme. Dans une troisième et dernière partie, Descartes va à l’encontre des idées de Montagne et Charon et nous expose sa thèse. Ainsi la parole est considérée par l’auteur comme un privilège de l’Homme qui lui conférerait donc, une puissance supérieur à celle des animaux. Pour lui aucune bêtes n’est parvenues à transmettre ces pensées à ses semblables au contraire de l’Homme qui même parfois mué à inventé un autre type de langage pour exprimer ses pensées. Pour finir d’après Descartes les animaux n’ont pas de pensées ce qui expliquerait qu’ils ne les expriment pas.  

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