Amour, générosité, solidarité et communion: quatre façons de vivre ensemble
Analyse sectorielle : Amour, générosité, solidarité et communion: quatre façons de vivre ensemble. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar caca2024 • 11 Juin 2024 • Analyse sectorielle • 1 613 Mots (7 Pages) • 102 Vues
André Comte Sponville : Il se définit matérialiste à la façon d’Epicure rationaliste à la façon de Spinoza et Humaniste à la façon de Montaigne. L’esprit de l’Athéisme.
Amour, générosité, solidarité et communion, quatre façon de vivre ensemble :
Le vivre ensemble : ensemble et non pas les uns contre les autres non pas les uns à côté des autre, ensemble les uns avec les autres.
Ensemble = Cum.
Etre uni avec sa s’appelle la communion.
EN quoi allons-nous communiait, comme faire société vu qu’il y pas de société sans lien.
-> Remarque de Michel Ser retravaillait sur l’étymologie du mo religion en fr = Religio (latin) = religarer = relier si bien que la religion est celle qui relie (entre eux et à dieu). Sauf que MS ajoute si la religion c’est ce qui relie, le contraire de la religion, n’est pas l’athéisme mais l’absence de liens donc étymologiquement la négligence. ACS conclu -> Ce qui nous menace aujourd’hui dans cette société laïcisé, sécularisé, déchristianisé, ce qui nous menace est air de la négligence généralisé = une pure est simple dissolution du lien social de telle sorte que nos concitoyenne, nos contemporains, devenu incapable de communier en quoi que ce soit ne puisse plus que cultivé indéfiniment leur petite sphère privé, ce que les sociologues appellent dans leur franglaise le cocooning quand ce n’est pas développer les haines, les colères les dissensions. Donc : « Comment échapper à cette air de la négligé géné comment créer des liens dans un pays dan laquelle la reli y parviens de moins en moins ». Comment créer du lien de la communion quand la reli n’y parvient plus. -> 4 voie pour faire du lien : Amour, générosité, solidarité et communion :
L’Amour :
La voie la plus agréable, le plus efficace, la plus forte, mais quand l’amour est là, saint Augustin : « aime et fait ce que tu veux » -> Donc si tu agis par amour (de l’autre pas de sois) tant que tu agis par amour tu es sûr de bien agir. Mais le plus souvent l’amour n’est pas là. Chanson de Jules vigno : « Quand les hommes s’aimeront d’amour il y aura plus de misère, les soldats seront troubadour et nous nous serons mort mon frère » -> c’est ce qu’on appelle le paradis et on n’y est pas. Ça veut dire que l’amour fait défaut -> quelle amour parce qu’en fr il y trop de sens (aimer l’homme ou la femme, ses enfants, les amis, son pays, la p) Quand on parle d’amour en fr personne sait de quoi on parle. ACS prend l’habitude quand il parle d’amour d’utiliser les trois mots grecs que les anciens se servaient pour parler trois type d’amour dif : Eros, Philia, Agapè.
• Eros : C’est l’amour et pas le sexe. Le dieu de l’amour mais un amour bien particulier, c’est l’amour passion. « L’amour que vous ressentiez pour votre épou avant qu’il soit votre épou ». Eros est l’amour selon Platon. Le banquet de Platon. Socrate nous dit dans ce livre la vérité sur l’amour. Amour = désir = manque, Platon dit « Ce qu’on a pas, ce qu’on est pas, ce dont on manque voilà les objets du désir et de l’amour » ACS ajoute et voilà pq le bonheur si souvent est manqué Poète louis Aragon « Il n’y a pas d’amour heureux. Mais Platon dit qu’il y a bien un problème quelque part. Mais si l’amour est désir et que le désir est manque donc j’aime et je désir que ce que je n’ai pas. Mais le bonheur, Platon répond « être heureux c’est avoir ce qu’on désir » (pas tout ce qu’on désir) mais si le désir est manque, tu ne désir que par définition que ce que tu n’as pas et si tu désir que ce que tu n’as pas par définition tu n’as jamais ce que tu désir. Mais quand un de nos désir est satisfait il y a plus de manque comme il est satisfait mais si le désir est manque si il y a plus de manque il y a plus de désir, vous aviez ce que vous désiriez avant du temps ou vous l’aviez pas. Mais être heureux c’est pas avoir ce qu’on désirez mais avoir ce qu’on désir. C’est pour ça qu’on est pas heureux. Tomber amoureux en langage platoniciens c’est découvrir tout à coup que quelqu’un vous manque. Si vous êtes célibataire c’est marrant mais si vous êtes mariée c’est chiant. Si vous n’arriver pas à charmer manque -> souffrance mais si oui manque de moins en moins car elle manque plus, si elle manque plus on le désir plus. Du coup vous l’aimer plus de la même manière vous l’aimer plus dans le manque. Soit vous tomber de Platon en Schopenhauer soit de Platon en Spinoza. S « Toute notre vie oscille comme un pendule de droit à gauche, de la souffrance à l’ennuie ». Souffrance car je désir ce que je n’ai pas. Ennuie car j’ai ce que je désir
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