Devoir n°2 histoire CNED 1ere es
Commentaire de texte : Devoir n°2 histoire CNED 1ere es. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mélina Fayet • 4 Juin 2019 • Commentaire de texte • 649 Mots (3 Pages) • 911 Vues
Point de méthode travaillé : étude critique d’un document
Sujet : « L’expérience combattante durant la Première Guerre mondiale »
La Première Guerre mondiale,fait le sujet de beaucoup de temoignages écrits d'anciens combattants ou de fictions. On peut par exemple citer Un hiver à Souchez de Jean Glatier-Boissière ou même plus connu Paroles de poilus de Jean-Pierre Guéno qui regroupe une centaine de lettres d'anciens combattants. Le document qui nous est donné est un roman de ErichMaria Remarque, A l’ouest, rien de nouveau datant de 1929. On nous y présente le narrateur Paul Baümer jeune soldat qui sera le personnage principal. L'auteur s'est inspiré de sa propre expérience pour cette histoire. En effet Erich Maria Remarque a été envoyé au front en 1917 où il fut bléssé. Dans cet extrait Paul Baümer décrit l’attente d’une offensive en première ligne, au moment de la guerre de position entre 1915 et 1917.
En quoi ce document permet-il d’éclairer l’expérience combattante des soldats dans la Première Guerre mondiale?
Nous montrerons d'abord en quoi il s'agit d'un témoignage sur la guerre de position .Nous verrons ensuite comment il décrit les violences des combats.
Tout d'abord, ce document nous en apprend plus sur la guerre de position. Cette guerre de position est dû à une de l'offensive pour la défensive. La notion d'attente (principe de la guerre de position) est fortement présente “nous tirons à l’envi sur les rats et nous flânons”, “nous attendons l’attaque et nous nous couchons”, “L’aube arrive sans qu’il n’arrive rien”.
Ensuite, le document nous révèle la participation de beaucoup de personnes durant cette Première Guerre mondiale. En effet , on évoque la participation de “recrues inexpérimentées” ce qui rappelle que de jeunes soldats ont été appellés tout au long de la guerre. Ce document nous permet aussi de prendre conscience d'une grande mobilisation de materiel. Cette mobilisation est mise en avant par l'idée de l'acheminement de munitions comme des genades et des cartouches. Par la suite cette mobilisation materielle est accentuée par l'auteur qui évoque les allers et venues de transports “ des trains, des trains, des camions, des camions”. Nous pouvons aussi parler des innovations dans l'armement avec les grenades, les cartouches et le gaz . Ce gaz asphyxiants semble être l'innovation de cette guerre.
Par la suite, le texte nous permet de voir comment les soldats vivent cette expérience, en particulier la souffrance dû à la violence des combats. Ainsi, nous pouvons voir que les soldats sont soumis parfois à leurs dépens à la violence. Le texte montre un ceratin recul avec la violence qui nous est évoquée. L'auteur parle d'une “mode” qui veut que les soldats partent à l'assaut avec une pelle plutôt qu'une baïonnette. Il y a d'ailleurs tout un paragraphe qui parle de la practicité de la pelle contre celle de la baïonnette.
Cela peut montrer une certaine banalisation de la violence présente durant cette guerre mais on peut aussi l'interpréter comme une forme de prévention envers
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