Les Origines Culturelles De Lla Révolution Française
Dissertation : Les Origines Culturelles De Lla Révolution Française. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 20 Mai 2014 • 2 599 Mots (11 Pages) • 1 033 Vues
Je parle du livre « Les origines culturelles de la Révolution Française » écrit par Roger Chartier. C’est un essai qui s’agit des causes culturelles de Révolution Française.
Roger Chartier qui est né a Lyon en 1945, est directeur d’études a l’Ecole des Hautes Études en Sciences Sociales Historien de l’éducation, du livre, de la lecture, il a reçu le grand prix d’histoire « prix Gobert » de l’Académie française en 1992. La ouvre en question de cet historien français, on le peut diviser dans une brefintroduction, huit chapitres, uneconclusion et un postface. Aussi un index des noms de personnes.
Dans l’introduction, Chartier commence disant « l’histoireest devenue plus circonspecte dans la désignation des causalité».Il montre, également que, à partirdu livre« Les origines intellectuelles de la Révolution française » 1715-1787, de Daniel Monet (1967), a avaitune apport essentielle sur la relecture de este important événement. Aussi L’auteur fasse comprendre ce quipasse dans le livre « comprendre les pratiques et los pensées des Français du XVIIIe siècle», mais dans une nouvelle révision.
Lumières et Révolution. Révolution et Lumières.
Robert Chartier commence avec lethème en disant la thèse de Mornet sur la Révolution Française à l’intérieur du livre « Les origines intellectuelles de la Révolution française ». Celle-ci s’est produite dans les nouvelles idées, en instaurant une directe relation entre les Lumières et la Révolution. Mornet continue la catégoriquelinéarité de l’histoire. Avec Foucault on faudrait attendreaux jeux de la discontinuité ,souligne Chartier, enconsidérant que « il n’y a pas uneapproximationpossible à un problème historiquedehors dudiscourshistoriographique qui l’a construit ». Il indique à ce auteur de la même manière que encore Mornet se assiste sur autres ouvres de auteurs que lui ont précédé, comme Alexis de Tocqueville (L’Ancien Régime et la Révolution, 1856) et Hippolyte Taine (L’Ancien Régime 1876), réflexion en même temps mis en relation avec le néo-classicisme. Alors, il parle de la politiquelittéraire qui a fait que les bourgeois et les nobles ont été très pareil, c’est-a-dire, que les deux parlaient des mêmes choses, et leurs goûts étaient les mêmes. Chartier commente que les causses de la révolution française commence avec el pensée des hommes des l’Illustration. En outre, on dit qu’il y adeux lectures respect à cette politisation de la vie: le jacobinisme a impulsé le changement; et des salons, des cafés, des académies, des livres et des journaux sont les fondateurs de ce nouveau espace publique.
Espace public et opinion publique
Dans ce deuxièmechapitreon parle du sociologueAllemagne Jürgen Habermas dans Strkturwandel de Offentlichkeit (traduit en français sous le titre L’Espace public), où il nous dit que« la sphère publique bourgeoise peut être tout d’abord comprise comme étant la sphère des personnes privées rassemblées en un public »ainsi donc que la politique bourgeoise va se placer vers tout qui était institutionnel publique, par contre à ladomination du monarque. Dansce nouvel espace et opinionpublique, los hommes de l’Illustration du XVIIIesiècle étaientprésent. L’Illustrationont développé le jugement rational etmoral des personnes. En mentionnantKant,Chartierchange la manière de réaliser l’activité critique, laquelle estdedans desinstitutions, et dans ce cas sur tout contre la Église et sur l’État. L’opinion publiqueétaitillustrée; dont majorité de la société, mais usuellement était compris comme « aveugle etbruyante »(D’Alembert). C’est ainsi surgit le tribunalde l’opinion publique, auquel il faut écouter, et lequel était constitué pour des philosophes, des écrivains et des jurisconsultes. Nous voyons comme il y avait un déplacement de la noblesse et le clergé, pourquoi cette opinionpublique s’est intégrée par des hommes et des femmes qu’appartenait à touts les classes. Chartier constate que il y a une espèce de censure pour part de l’institutionroyale, alors dans 1775 il a présente au roi un approfondi reportage dont il arrivait sur le commerce des libres. Il y avait beaucoup des livres interdits qui traitaient des thèmespornographiques ou de douteuse orthodoxiethéologique, de la même façon que ceux-là qui attaquaient les institutions royale et l’autorité civile. En accord avec Chartier, on allait a s’en aller éliminant les lettres de cachet ou lettres fermées du roi, où se accusait quelqu’un par un prétendudélit duquel il n’y avait pas une défense possible. Lepublique s’est établé comme quipût contrôler leurs propresdentitions, sanscompter sur le roi, grâce au usage de la raison et leregard critique. Egalement il nous dit que la frontière entre le peuple et le public qui est, essentiellement, la non-écriture et la écriture car il y avait des personnes que pouvaient consentir à livres et des personnes qui ne pouvaient pas.
« La voie de l’impression » Régime de la librairie et champ littéraire.
Malesherbes est nommé dans 1750 le directeur de la Librairie et, par contre, des années plus tard, sur1763, Diderot écrit Lettre sur le commerce de la librairie. C’est des rapports secrets de l’administration dans les dernières années du ancien régime en France. Le parlement est choqué avec leroi è cause de ces contrôles imposés à la libre circulation du livre. Touts les livres devaient porter une autorisation royale pour sa publication. Seulement on pouvait circuler les livres qui n’attaquaient pascette institution (le roi), mais les livres de Helvétiusse sont confisques, ainsi comme les livres qui étaientconsidérés comme subversifs. Au même temps on a concordé avec l’attentat au roi fait par un sujet qui s’appelait Damiens. La plus part deslibres interdits se sont édités dehors de France, de façon qui n’était pas facile leurdétection et confiscation. Même le propre Malherbes reconnait que « les interdits sontinefficaces et ruinasses ».Par ce temps, également, on s’est donné le fondement contractuel à la propriété littéraire. On a surgi la professionnalisation de l’écriture. Entre 1750 et 1779, le 40 par cent des 941 libraires arrêtés, ilsont été emprisonnés. Condorcet insistait dans que grâce à la presse et aux livres, les peuples se sontpus libérer « de toutes les chaînes politiques etreligieuses ».
Les livres font-ils les révolutions
Pour Chartier, « une même idéeest sous-jacente sur ces trois jugements: que la lecture est investie d’un pouvoir de
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