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Le « Printemps des Peuples » dans la confédération germanique 1848-1849

Étude de cas : Le « Printemps des Peuples » dans la confédération germanique 1848-1849. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  18 Mai 2021  •  Étude de cas  •  606 Mots (3 Pages)  •  826 Vues

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                        Histoire

Sujet : Le « Printemps des Peuples » dans la confédération germanique  1848-1849.

A- Après avoir présenté le document et sa subjectivité, B- vous montrerez qu’il témoigne des aspirations libérales et nationales qui secouent le monde germanique en 1848.

C- Enfin, vous présenterez les oublis de l’auteur quant aux évolutions et au dénouement de ces événements.

En 1848, une «vague révolutionnaire» ébranle l’ordre conservateur qui a présidé aux destinées de l’Europe depuis la chute de Napoléon et le congrès de Vienne de 1815. Des insurrections chassent les souverains ou les contraignent à octroyer une constitution, instaurent de nouveaux régimes fondés sur la souveraineté nationale et les libertés fondamentales. C’est le «printemps des peuples». 

A-  Ce document est un témoignage de Carl Schurz à l'age de 19 ans         (quand il fut étudiant). Participant aux événements de 1848 en Allemagne ; celui-ci «raconte» la fin de la Monarchie Française [ « les Français ont renversé Louis-Philippe et proclamé la République » (ligne2-3) ] et du «vent Révolutionnaire» que la France a «commit» [ « Bientôt, le mot démocratie fut sur toutes les bouches (...) (ligne4) ] .

B-  Dans cette citation (ligne6-8) ;  Carl Schurz s'exprime en revendiquant les droits et l'égalité entre les citoyens Allemands (aspirations libérales) :

[ « Comme beaucoup de mes amis, j’étais dominé par le sentiment qu’enfin était arrivé le moment de donner au peuple allemand la liberté qui était son droit naturel et à la patrie allemande son unité et sa grandeur (…) » (ligne6-8) ]

Dans cette deuxième citation (ligne4-5) ; celui-ci explique que les citoyens (étudiants...) seraient prêts à passer par la force (comme les citoyens Français , le 23 Février 1848) pour partager leurs unité culturelle ou historique (aspiration nationales) , si le gouvernent ne serais point d'accord avec eux :

[ « si les princes refusaient d’accorder au peuple ses droits, les simples requêtes céderaient le pas à la force » (ligne4-5) ]

Ces deux éléments forment le désir de l'unité nationale chez les citoyens Allemands.

De plus, il ajouta ; à Vienne les étudiants avait déja «mis en place» se désir d'unité nationales: [ «De grandes nouvelles arrivèrent de Vienne. Là-bas, les étudiants de l’université avaient été les premiers à défier l’empereur d’Autriche en réclamant la liberté et des droits pour le citoyen. Le sang avait coulé dans les rues et la chute de Metternich en avait été le résultat. Les étudiants en armes avaient formé une garde de la liberté» (ligne9-12) ]

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