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La Révolution française de l’Empire, une nouvelle conception de la Nation

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Par   •  18 Janvier 2022  •  Cours  •  1 975 Mots (8 Pages)  •  649 Vues

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Cours histoire :

Chapitre 1 : La Révolution française de l’Empire, une nouvelle conception de la Nation

Intro (pronote) :

Analyse de documents 1 (été 1789) :

1. A Agen, l’assemblée est composée d’un seul comité qui vote pour les lois publiques et décider des difficultés de l’autorités municipales. De plus, la révolution a été faites sans violence.

2. Nous pouvons constater qu’une majeure partie du territoire français ont la Grande peur. Elle se propage des villes vers les campagnes. La grande peur commence par 4 épicentres de paniques qui ont par les courants de la Peur propager leur crainte.

3. Cette gravure montre des paysans, munie d’outils de travail, en train de taper sur des objets invoquant le privilège. Cela nous explique que l’assemblées n’a pas eu le choix que d’abolir les privilèges. Les paysans battent la noblesse.

4. Il y a la liberté et l’égalité à la naissance, la propriété privée et la liberté d’expression.

5. Les populations en provinces jouent un rôle majeur dans la Révolution française car c’est elle qui va prendre les armes, notamment durant la prise de la Bastille.

Intro :

-phrase d’accroche

-définition du sujet

-contexte

-présenter les docs

-Problématique

-Plan

Ccl :

-réponse Problématique

-ouverture

Analyse de documents 2 (Louis XVI) :

  1. Le discours 1 est celui de Louis Antoine Morisson, un député de Vendée a l’Assemblée législative puis à la Convention. Il témoigne de son opposition face à l’exécution du roi Louis XVI.

Le discours 2 est celui de Louis Antoine De Saint-Just, c’est un élu de la convention nationale. Ce dernier affirme que le roi doit être condamné à cause de tous ses souffrances qu’il a commises, il affirme « quel ennemi, quel étranger nous a fait plus de mal ? Il doit être jugé promptement ».

  1. Ces circonstances sont exceptionnelles car ces deux auteurs s’opposent aux rois, Louis Antoine De Saint-Just s’opposent même à la loi en voulant condamné le roi. Ils se révoltent contre le roi et le peuple va suivre, tous cela va faire un évènement massif.
  2. Au début du document 2, Saint-Just répond à Morisson « opinion de Morisson »
  3. Morisson estime que tout roi ne peut pas être jugée car cela s’oppose à la loi, il dit « pour pouvoir le juger, il faut qu’il y ait une loi positive, préexistante, qui puisse lui être appliquée ».
  4. D’après Saint-Just le roi doit être jugée comme un citoyen avec la citation « le roi devait être jugée comme simple citoyen », il prétend que le roi est le meurtrier de la Bastille, de Nancy, du Champs-de-Mars…Il explique même que le conseil de la sagesse et de la saine politique serait de le juger promptement.
  5. A reprendre
  6. D’après Morisson on doit respecter la constitution des droits de l’homme et du citoyen.
  7. A reprendre.

Analyse de documents 3 (Guerres civiles en France) :

1.A reprendre

2.A reprendre

3.    C’est la répression.

4.A reprendre    

  1. Mettre fin à l’Ancien régime (1789-1792)
  1. Les révolutions de l’été 1789

Le 9 juillet, l’assemblée nationale constitué de 300 députés du tiers état, se dit « constituante » : la monarchie absolue n’existe plus.

Le 14 juillet 1789, inquiets des mouvements de troupes autours de la capitale, des Parisiens prennent la Bastille. La « Grande Peur » touche les campagnes. Pour calmer les troubles et établir une société nouvelle, la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen est adoptée et fonde une société de citoyens égaux en droits.

  1. Une vie politique nouvelle dans une France modernisée

Les tensions demeurent, cependant, les Parisiennes ramènent de force le 06 octobre 1789, la famille royale à Paris. La fête de la fédération, le 14 juillet 1790, cherche à affirmer la concorde nationale. Partout, des sociétés politiques se développent, les journaux se multiplient, sont lus et commentés. De nombreuses pétitions sont envoyées à l’Assemblée ou les députés se regroupent par communauté d’idées (monarchistes, Jacobins,…). A Paris, les « sans culottes » interviennent dans la vie politique. L’Assemblée nationale entreprend de nombreuses réformes pour moderniser la France : découpage en 84 départements, unification des poids et mesures. Pour rembourser les dettes de l’Etat, elle nationalise les biens du clergé. La constitution civile du clergé impose un serment aux prêtres et aux évêques.

Analyse de documents 4 (mettre fin à l’ancien régime) :

1. Ils veulent faire baisser le taux d’impôts et ils veulent contrôler les prix.

2. Le roi reste à la tête de l’Etat mais ses décisions sont contrôlées par l’Assemblée législative par l’intermédiaire du contrôle des ministres.

3. La famille royale est traitée comme des criminels et humiliée.

4. La guerre était largement souhaitée en 92, car pour certains elle aurait permis d’assoir leur vision démocratique. De plus, ils souhaitent que les pays frontaliers adoptent le même type de gouvernement pour éviter les tentatives de retour à la monarchie par la force.

  1. Le double jeu du roi

Refusant ces évolutions, Louis XVI s’enfuit de Paris le 21 juin 1791 pour rejoindre à la frontière les nobles émigrés et les troupes étrangères qui y stationnent. Arrêté à Varennes, il est ramené à Paris. Cette fuite le discrétise auprès de l’opinion.

La Constitution, adoptée en septembre 1791, crée une monarchie constitutionnelle qui répartit les pouvoirs entre le roi et l’Assemblée élue au suffrage censitaire. Le « roi des Français » conserve la politique extérieure et le pouvoir exécutif.

Les puissances européennes, inquiètes du sort de la famille royale et craignant la contagion de la Révolution en Europe, sont menaçantes. Le 20 avril 1792, L’Assemblée déclare la guerre à l’Autriche alliée à la Prusse. Suite aux premières défaites françaises, Louis XVI est soupçonnée de jouer double jeu. Le 10 août 1792, des sans-culottes et des fédérées s’emparent de sa résistance, le château des Tuileries à Paris. Le roi se réfugie au sein de l’Assemblée qui déclare sa déchéance : c’est la fin de la monarchie.

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