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Crise du 6 février 1934 vue par lapresse

Commentaire de texte : Crise du 6 février 1934 vue par lapresse. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  5 Mai 2020  •  Commentaire de texte  •  640 Mots (3 Pages)  •  655 Vues

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Devoirs histoire n1

Les deux documents présentés, sont des documents extrait des journaux au lendemain de la crise du 6 février 1934, l’un est socialiste avec pour une « Le coup des fascistes a échoué » extrait du Populaire le deuxième est lui de droite avec pour une « Apres les voleurs, les assassins » extrait de L’action française. La crise du 6 février est une manifestation qui à été organisés à Paris devant la Chambre des députés par des groupes de droite, pour protester contre l’exclusion du préfet de police a la suite de l’affaire Stravisky. Une crise est une manifestation brusque et intense, de durée illimitée qui peux entraîner des comportements néfastes, la presse elle représente tout les médias que ce soit les journaux ou bien les radios qui vont raconter les actualités, mais il faut faire attention à ce que cela soit une presse d’information et non d’opinion. Stavisky était un escroc connu de la police qui a détourné des crédits municipaux de la ville de Bayonne, pour ensuite soutenir les candidats au parti radical. Le journal L’action française a dénoncé les violences commise par le gouvernement lors de cette manifestation. Le Journal Le Populaire qui soutient cette République et n’est pas en accord avec la manifestation menée par les personnes d’extrême droite.  

Quelle a été le rôle principal joué par la presse lors de cette crise ?

Dans un premier temps, nous allons voir qu’elle ont été les causes de cette crises, qui a été l’une des plus grosse en France, puis dans un second nous allons voir qu’elle a été l’influence des journaux.

        

        

        Lors de cette crise, l’influence des deux journaux a été très importante, malgré qu’ils aient des visions politiques différentes, ils ont raconté cette crise du 6 février avec des idéologies différentes, ce qui nous permet de comprendre l’ampleur de cette crise avec des avis différents. Il ne faut pas oublier que cette crise a eu lieu en 1934 et que le contexte historique est assez compliqué. Nous sommes entre les deux guerres est au début des années 1930 où le communisme s’impose en URSS et le nazisme depuis peu en Allemagne, tandis que l’Italie est fasciste depuis le début des années 1920. En France, de plus il y a l’arrivée de la radio et une sorte de bataille s’est installé entre les journaux de la radio, les journaux papiers s’étant appropriés les images photo. C’est à partir de ce moment que les informations n’en sont plus mais que l’ont trouvée désormais des opinions selon le parti que l’on défend. Et il est illustré avec les deux documents donnés où l’histoire de cette crise est racontée différemment, que l’ont soit au parti socialiste ou d’extrême droite monarchiste. La une du quotidien monarchiste L’action française au lendemain du 6 février fait les gros titre « Après les voleurs, les assassins » mais aussi avec des articles expliquant les événements de la journée passée notamment avec l’article « Paris couvert de sang » ou il est dis qu’il y a eu beaucoup de violences avec 50 morts et des milliers de blessés, mais aussi que Daladier refuse de s’expliquer de la chambre des députés, il l’a même quittés par derrière sans oser sortir de sa voiture comme l’explique le journal. Le quotidien socialiste Le Populaire lui a pour une « Le coup de force des fascistes a échoué »  avec des articles tel que « La réaction des fasciste ne passe pas » cette déclaration a été lu par Léon Blum qui été le chef du parti socialiste, mais aussi avec des images de la chambre des députés ou le débat a été pénible et tumultueux comme le montre le journal.

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