Pourquoi peut-on affirmer que le front de l’Est a été le théâtre d’une guerre d’anéantissement pendant la Seconde Guerre mondiale ?
Dissertation : Pourquoi peut-on affirmer que le front de l’Est a été le théâtre d’une guerre d’anéantissement pendant la Seconde Guerre mondiale ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar bae14 • 26 Avril 2022 • Dissertation • 1 087 Mots (5 Pages) • 657 Vues
Réponse à une question problématisé : Pourquoi peut-on affirmer que le front de l’Est a été le théâtre d’une guerre d’anéantissement pendant la Seconde Guerre mondiale ?
Depuis l’opération Barbarossa le 22 juin 1941, le front de l’Est est le théâtre d’opération entre l’Allemagne Nazie et l’URSS. Les forces de l’Axe veulent une destruction totale de l’ennemi, le système judéo-bolchevique doit être éradiqué. L’Allemagne Nazie veut détruire aussi bien les forces militaires que les forces civiles de l’URSS, on parle ici d’une guerre d’anéantissement. Pourquoi peut-on affirmer que le front de l’Est a été le théâtre d’une guerre d’anéantissement pendant la Seconde Guerre mondiale ? Dans un premier temps, nous verrons dans cette guerre d’anéantissement les violences faites aux soldats. Puis dans un second temps, les violences faites aux civiles et le génocide des Juifs et des Tsiganes.
Les violences sur le front de l’Est contre les soldats sont des crimes de guerre, les conventions de Genève ne sont pas respectées. Lorsque les soldats sont fait prisonniers, et qu’ils ne sont pas abattus sur place, ils subissent des maltraitances tel que les marches de la mort ou alors ils sont utilisés comme main d’œuvre et mal nourris.
D’après les archives Soviétiques, 2,7 millions de soldats Allemand ayant servi dans la Wehrmacht furent capturés, et 356 700 ressortissants Allemands trouvèrent la mort dans les camps du NKVD. Les prisonniers de guerre Allemand étaient utilisés comme main d’œuvre forcé durant la guerre, et lors de la reconstruction des villes.
Mais ceci n’est rien, on compte à peu près 5 millions de prisonniers Soviétiques et seulement 1.5 millions ont survécus. Les prisonniers Soviétiques furent utilisés comme cobayes, par l’Allemagne Nazie, pour tester les effets du Zyklon B dans les chambres à gaz d’Auschwitz ; mais la plus part d’entre eux, si ils n’avaient pas été tués, étaient utilisé comme main d’œuvre au près de l’armée Allemande. Leur transfert vers les camps se faisait par marches forcées, ou alors ils étaient entassés dans des wagons à bestiaux sans toit et sans nourriture. Une fois arrivés aux camps, leurs conditions de vie étaient misérables, il étaient entassés en plein air avec une température de -20°C, et ils étaient sous-alimentés. Chaque jour, des centaines ou peut-être même des milliers de prisonniers mouraient dans ces camps, et ceux qui avaient encore quelques forces, jetaient les corps sans vie dans une grande fosse. Les 1.5 millions de survivants Soviétiques rapatrié en URSS furent considérés comme des traîtres, d’après Staline, et 80 % d’entre eux furent condamné à des travaux forcés ou alors furent fusillés sur place. Les violences contre les soldats Soviétiques ont causé environ 10.2 millions de pertes militaires sur un total de 30 millions d’hommes mobilisés.
Mais ces violences on aussi été très destructrice pour les civils.
Les violences sur le front de l’Est contre les civils sont des crimes de masse, les civils étaient les cibles de la guerre.
Les pertes civiles Soviétiques furent de 16,8 millions de morts sur un total de 130 millions de civiles. Les civils déportés pour le travail en Allemagne étaient de 5,3 millions, autant que les soldats
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