De l'antiquité au Moyen Age
Cours : De l'antiquité au Moyen Age. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Quentin Duval • 11 Novembre 2017 • Cours • 1 131 Mots (5 Pages) • 939 Vues
Quentin Duval Synthèse de :
La transition de l’Antiquité au Moyen-Age
L’Antiquité est séparé en 4 grandes périodes, Proche Orient, l’Égypte, la Grèce, et Rome mais le Moyen-Age n’a pas de bornes claires, on le définis de « moyen » ce qui montrerais son infériorité par rapport aux deux périodes qui le délimite. Alors qu’a la fin de l’Antiquité on peu parler de « bas-Empire » ou d’ « Antiquité tardive » pour faire référence au déclin de l’Empire Romain d’Occident.
L’événement tant bien contester qui marque la fin de l’Antiquité et ce qui est le début du Moyen-Age est la chute de l’Empire Romain d’Occident. Or la chute de cet empire ne fait pas disparaître Rome, ni sa société et sa culture, elle ne fait que supprimer ses frontières militaire appelé « limes ».
La fragilisation commence en 395 lors de la mort de Théodose I, il y aura alors un partage de l’empire entre Honorius (Empire Romain d’Occident) et Arcadius (Empire Romain d’Orient).
En effet il existait des peuples barbares* situé au-delà du limes, dans le « barbaricum ». Certains avaient des relations provocantes comme les goths qui ont piller le Danube. Rome avait toujours su les maîtriser. D’autres ont même eu des relations pacifique avec l’Empire,faisait du commerce et l’aidait même dans certaines guerres. Il y avait alors des influences mutuelles entre ses peuples.
Mais à la fin du IVe siècle, les barbares font des raids maritimes sur les côtes de la Grande-Bretagne et la Gaule et d’autres attaquent les limes, c’est une pression perpétuelle. C’est alors qu’arrivent en 375 les Huns venant d’Asie centrale. Puis, les Wisigoths en 378 prennent Andrinople continuent leurs chemin pour trouver une terre dans le but d’y demeurer, alors le roi Alaric pille Illyrie et l’Italie, notamment la mise a sac de Rome en 410, ce qui constituera un choc dans l’Occident mais aucune réaction réelle à été orchestrer en représailles. C’est alors qu’en 418, Honorius place les Wisigoth en Aquitaine en tant que fédérés*. C’est donc le 1er royaume barbare d’Occident. En parallèle, plusieurs tribus barbares en 406 ont franchi le Rhin et envahi la Gaule, quelques un de ses peuples passent les Pyrénées et dévastent l’Espagne. Dans un contexte de famine, Honorius négocie leurs installations, les Suèves obtiennent donc le statut de fédéré, puis en 435 les Vandales en profitent aussi et sont accueillis dans la partie orientale de l’Afrique du Nord. Lors de cette période, Rome perd des ressources (blé notamment) et le contrôle de la Méditerranée.
Ces accords avec certains Barbares, qui montre qu’il ne s’agit pas que de flux migratoire mais aussi d’une volonté d’un passage de la barbarie a la civilisation, ne sont pas généraux. Les Huns se tournent vers l’Occident vers 449-450 et avancent vers le Rhin, Metz, Reims et prennent Orléans. Mais ils seront repousser par les Romains qui ont été aider par les Wisigoths en 451. Alors les Huns change de cap et se tournent vers Rome.
La progression des Huns sera ralentie par le Pape Leon qui parvient en négociant et en payant à détourné l’objectif des Huns qui était de prendre la « ville éternelle ». En effet, même l’Église joue un rôle lors de cette période puisqu’en 392 le christianisme devient la religion d’État et prend de plus en plus de place face au paganisme. L’Église chrétienne se sent Romaine et juge qu’elle a le devoir de défendre Rome et de lutter contre le paganisme. Cette progression des Huns s’achèvera à la mort d’Attila en 453 et son empire s’écroulera en 469.
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