Les rapports entre séparation des pouvoirs et organisation politique de l’Etat.

LéandreMotaTes1                 Race et Histoire, Claude Lévi Strauss

Claude Lévi Strauss est un philosophe naît à Bruxelles en 1908 qui décide de se consacrer à l’ethnologie c’est-à-dire à l’étude des sociétés dites primitives. C’est ainsi que dans son œuvre que nous allons étudier, Race et Histoire, il nous parlera du problème de l’ethnocentrisme. L'ethnocentrisme étant la tendance plus ou moins consciente à considérer le monde ou d'autres groupes sociaux en prenant comme référence sa propre culture ou son propre groupe social, en privilégiant les normes sociales de son pays, en les valorisant systématiquement ou en les considérant comme supérieures. Comment l’ethnocentrisme est-il représenté d’après Claude Lévi-Strauss dans ce texte ?

Nous parlerons du rejet des cultures autres que la sienne et pour finir du jugement porté sur ces cultures.

                       Le mot culture signifie ici comme le dit l’auteur : « morales, religions, sociales, esthétiques » (ligne 3). Tout ce qui relève de l’ordre du symbolique et qui caractérise chacune des cultures existantes. Ici l’auteur soulève le problème de l’ethnocentrisme quand il dit : « cette même répulsion, en présence de manières de vivre, de croire ou de penser qui nous sont étrangères. » (ligne 6 à 8).Le mot « culture » dans cette phrase se réfère au mode de vie car en effet le langage, les formes esthétiques, l'organisation sociale, les structures de parenté et les coutumes sont différentes d'une société à l'autre. Nous pouvons penser que Claude Lévi-Strauss construit le concept d’ethnocentrisme avec celui d’égocentrisme étend une tendance à ramener tout à soi. Sauf que ce n’est pas le rapport à soi mais à la culture c’est-à-dire sa société. De plus, on peut ajouter que cette ethnocentrisme est le résultat de normes et valeurs imprégner depuis de nombreuses génération « L’attitude la plus ancienne » (ligne 1)par nos parents ainsi que par la société dans laquelle l’on se trouve tout au long de notre croissance. On parle aussi d’identification « l’attitude la plus ancienne, et qui repose sur des fondements psychologiques solides puisqu’elle tend à réapparaître chez chacun de nous » (ligne 1 à 2), en clair chacun de nous possède une culture et ces justement ce que l’auteur défend car c’est la diversité culturelle qui fait notre singularité à tous. En évoquant les dirent d’ethnocentriste avec « Habitudes de sauvages », « cela n’est pas de chez nous », « on ne devrait pas permettre cela » il recherche justement a dénoncé cette ethnocentrisme symbole de rejet et de mépris envers l’inconnu quand il utilise notamment aussi « répudier » ou « répulsion » car au final cela devrait créer chez nous une envie de découvrir cette nouvelle culture pouvant aller même jusqu’à l’admiration. Par exemple dans Les Lettres Persanes de Montesquieu on peut voir que justement cet personne perse à Paris est admirer de tous et qu’il suscite même un certain intérêt pour des personnes locales. Ainsi « autant de réaction grossières » ne sont pas nécessaire, mais cela ne s’arrête pas aux grossièretés.

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