La part des femmes, Grèce Antique

La Grèce Antique base toutes leur culture et leurs croyances sur des mythes et des récits mythiques transmis par les différentes générations. Ils tournent et mettent principalement les hommes grecs en premiers plan et au centre de la société, en excluant ainsi les esclaves et les femmes. Ils définissent la façon de penser le monde. Ce résumé du texte « La part des femmes » se portera beaucoup plus sur la place de la femme dans la Grèce Antique selon l’auteure Pauline Schmitt. Plus précisément, sur

La problématique que cette auteure cherche à expliquer est la quasi-inexistence l’importance sociale de la femme dans la culture grecque. La contradiction que nous pouvons ressortir de cette affirmation est bien le fait que beaucoup de divinités féminines tel qu’Aphrodite, Athéna ou alors Héra sont devenues des figures emblématiques, des héroïnes de la société grecque. En effet, ce sont des femmes qui font partie, à présent, des figures représentatives de cette société. Malgré ce fait, la femme n’était pas valorisée et était complètement soumise à leurs maris.

L’auteure cherche à expliquer cette problématique en étudiant les mythes au féminin ce qui lui permettra de façonner et de d’assimiler la manière dont les grecs percevaient les choses et leur façon de hiérarchiser la société. Elle pourra donc dresser un portrait du passé grecque. La nuance qui est mise de l’avant par Schmitt est la contradiction quant à la place de la femme énoncé dans les mythes face à celle qu’elle avait en réalité.

Pour commencer, les femmes possédaient auparavant le droit de voter et donc de participer aux consultations publiques. C’est dans un mythe présenté par Varron qui explique l’origine du nom de Athènes, que nous comprenons pourquoi les femmes Athéniennes ont perdu ce droit. Le mythe présenté nous explique que les citoyens ont dû voter entre Athéna et Poséidon, afin de déterminer lequel des deux noms sera utilisé pour nommer leur cité. Après un vte serrer Athéna qui fut voter par les femmes le remporta de un vote de plus sur Poséidon qui fut pour sa part soutenu par les hommes.

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