Idéologie, opinion, croyances en Europe et E.U de la fin du XIXe siècle à nos jours
Cours : Idéologie, opinion, croyances en Europe et E.U de la fin du XIXe siècle à nos jours. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar melimelo mel • 5 Juin 2018 • Cours • 1 972 Mots (8 Pages) • 631 Vues
THEME 2 : IDEOLOGIE, OPINION, CROYANCES EN EUROPE ET E.U DE L FIN DU XIXeme A NOS JOURS
CHAP 1 : Socialisme et mouvement ouvrier
Leçon 1 : Socialisme et syndicalisme de l'unité de la division de 1875 à 1945
Dans l'empire allemand que né en 1871 dont l'industrialisation est rapide que va s'organiser le 1er mouvement ouvrier €péens qui veut améliorer les conditions de vies des ouvriers et leurs émancipations politique, économique et sociale.
→ Comment ce mouvement ouvrier essaie d'apporter des réponses aux revendications ouvrières ?
Nous verrons le devoir du mouvement ouvrier et son positionnement face au pouvoir.
I. Devoir du mouvement ouvrier en Allemagne (1875-1914)
1. la fondation du parti socialiste allemand
monde ouvrier : celui qui né avec l'industrialisation, bas salaire, mauvaises conditions de travail, longues journées, logements insalubres, les enfants travaillent
Naissance à Gotha en 1875 du parti social démocrate d'Allemagne, né de l'union de plusieurs partis
Le programme du SPD est révolutionnaire, ils veulent renverser la société capitaliste pour une société égalitaire, et réformistes, veulent une société socialistes, plus juste grâce au suffrage. Ils défendent les ouvriers et critiquent le système capitaliste libéral
2. les débuts du syndicalisme
Les syndicats (autorie 1878) défendent les intérêts et les conditions de travails des ouvriers, regroupés autour d'une même structure : la comission générale des syndicats allemands
Les syndicats et le SPD sont liés. Les dirigeants des syndicats sont aussi les dirigeants de la SPD , cela renforce le sentiment de solidarité au sein du monde ouvrier
Les socialistes privilégient le réformistes contrairement aux syndicats : conventions collectives (ex: pour pas avoir de grèves) qui est un accord entre patrons et ouvriers
3. l'affirmation de la social démocratie
Ce mouvement ouvrier dont la progression est lente ( pas + de 8% des voix soit 12 députés jusqu'au 20ème siècle), quant à la comission générale des syndicat ils ont 700 000 adhérants.
Face à la montée du socialisme, Bismarck prend des initiatives parce qu'il estime que les socialistes sont une menace pour le pouvoir en place, crée lois anti-socialistes, interdit toutes organisation ouvrière, il dissoud plus de 150 organisations, il interdit les revues, journaux et 600 personnes ont la peine de prison, mais ils peuvent toujours se présenter aux élections
1882 : Bismarck fait adopter le 1er système d'assurance social même indemnité vieillesse afin de détourner les électeurs de la classe ouvrière
Le mouvement ouvrier progresse fortement au début du 20ème siècle, ils ont 35% des voix, 112 députés
Le SPD est le 1er parti, le groupe le plus nombreux parce que les autres groupent s'allient
Syndicats : 2.5 millions, progression très nette
L'influence du monde ouvrier se fait par les journaux (90 journaux socialistes, le sport : gym, vélo, natation + milliers de copératives)
Mouvement ouvrier a de l'influence sur le monde ouvrier (80% d'entre eux)
II. Mouvement ouvrier face au pouvoir (1914-1945)
1. le scission du socialisme
Le SPD comme tout parti décide de soutenir l'empire de Guillaume II (=union sacrée), c'est le reflexe patriotique qui prend le dessus
Le SPD espère en retour des amélioration sociales après la guerre.
On assiste à une scission d'un coté réformistes (acceptent la G) et de l'autre côté, les autres nottament le KPD (communistes)
Rosa Luxembourg et Karl Liebknecht du KDP veulent la révolution, instaurer un régime de type soviétique
En novembre 1918, l'Empereur Guillaume II abdique et la République est proclamée c'est un socialiste qui devient le nouveau chancelier, Veimar.
En janvier 1919, les spartakistes vont tenter un coup d'état comme les bolchéviques(=communistes). C'est les socialistes qui sont au pouvoir et face à la révolution ils envoient l'armée réprimer (1200 morts, principaux leaders exécutés). On a donc une scission entre SPD et KDP
2. une république sociale
SPD est au coeur de toutes les alliances pendant l'entre deux guerres et va prendre des mesures sociales : journée 8h de travail, assurance chômage qui complète la loi de Bismarck, des conventions collectives (=négociation au sein des E entre syndicats et patrons), des C.E (=comités d'entreprises : salariés participent à la gestion de l'E) et construisent des logements sociaux
Le soutient des syndicats, l'ADGB (confédération générak des syndicats allemands) = tout ça pour passifier (calmer) la société sauf que tout ça est anéanti par des crises
1920 : forte inflation par la masse monétaire, beaucoup sont ruinés
1929 : 1/4 de la pop sont chômeurs, le SPD est de + en + critiqué et la population les accusent d'être responsables des crises, ect
3. lutter contre le nazisme
La situation politiue des années 30 :
- nazi qui progresse fortement (33%)
- KPD : 16%
- SPD : 20.4%
Le parti nazi n'est pas majoritaire, si KPD et SPD s'alliaient ils auraient été + nombreux qu'eux, mais les forces de gauche ne parviennent pas à s'allier, le parti communiste veut X s'allier à ceux qui sont favorables aux capitalisme et qui ont tué 1200 personnes
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