Des milieux transformés par l'homme cours

1. Des milieux transformés par l’homme

La France est ouverte sur la mer méditerranée, la Manche et l’Océan Atlantique. Ce qui permet des échanges commerciaux, on a donc une littoralisation des activités et des zones. Les axes structurent le territoire en empruntant des seuils (espace bas qui relie deux entités géographiques, Grande vallée, vois d’eau, route, et voie ferrée) Marqué par les reliefs.

Le poids de ces contraintes naturelles se sont amoindries en raison d’avancée technologique, et la richesse qui permet de contourner la contrainte naturelle. (Ex : montagne -> construction de tunnel) et le tourisme en montagne permet d’avancer.

1. Une pression anthropique

• La transformation des milieux qui s’accélère, du fait du développement des moyens des techniques.

On constate une concentration de la population en milieu urbain. Dissémination de la population dans tous les milieux.  L’homme est aller partout, il n’y a pas un recoin qui n’est pas connu ni cartographié.

• La pression des hommes sur le territoire s’accroit, il n’y a plus de paysage naturel.

Les milieux agricoles sont le fruit de défrichement très anciens. Maquis et Garrigues sont modifiés et fais de surpâturage.

• Les forêts ne sont plus sauvages et sont entretenues par l’ONF, Entretien des forêts, garde forestier. La pression de l’homme sur l’eau notamment pour fournir de l’électricité et les barrages crées, et le vent avec la mise en place des éoliennes qui ponctuent les paysages. Dégradations du territoire. Déforestation.
• Les causes artificielles endommagent les côtes du littoral.

1. Une population soumise au risque

• Des aléas au catastrophe : A l’heure actuelle 23 500 communes sont exposés à 1 ou plusieurs risques naturels. (Le séisme pourrait toucher la méditerranée et l’Alsace, les inondations, vents = mouvement de terrains, canicules et sécheresses, avalanches) Ce sont des aléas mais ils deviennent des catastrophes quand l’homme est impactés. La tempête Xynthia avait faits 50 morts en février 2010.  Dans les iles tropicales, il y a les séismes, les tsunamis, volcanisme Pour faire face à cela il ne faut pas sortir. Les sociétés qui méconnaissent les risques, rendent dangereuses ces risques. L’anthropisation accroit ces risques en rendant ces aléas, des catastrophes.
• Il peut être aussi soumis à des risques technologies à cause de l’activité humaine. Notamment le long des côtes et dans les industrialo-portuaires des marées noires. La pollution est très ample.

Géré durablement le territoire

Comment concilier aménagement, développement et protection de l’environnement ?

La nature prend une place de plus en plus importante, on crée de nombreux espaces verts et notamment des jardins partagés a la périphérie des villes. Les aménagements d’aujourd’hui tente de prendre en compte les préoccupations environnementales. Des questions sont posées tels que la gestion des ressources qui sont organisées (gestion de l’eau). Certains milieux sont protégées (parc régionaux). Mise en place de dispositif d’alerte et gestion de crise et prévenir les risques. Notamment en pratiquant l’écobuage (débroussaillement de la forêt pour éviter les feux de forêts). Favoriser le reboisement. Ainsi la richesse naturelle et la richesse du patrimoine sera préservée et assurera la solidarité écologique du territoire.

Géré durablement un territoire. C’est définir les responsabilités des dirigeants mais aussi de formées les écocitoyens.

La convention de Ramsar

Ville iranienne où s’est déroulé la convention

Conférence de Ramsar : 2 féviers 71 au 3 février. 50 pays réunis.

1963-1970 : Texte sur une convention négocié

74 première adhésion de l’Australie ; 18 pays à l’origine

Premier site Ramsar, l’Australie installe la péninsule de Cobourg préservé sur la cote nord.

L’objectif de Ramsar met l’action sur la conservation sur l’utilisation des zones naturelles humides. L’objectif est de contrée, la perte et la dégradation croissante, des zones humides qui servait d’habitat aux oiseaux d’eau migrateur. C’est une prise de conscience. Cette convention est le seul traité mondial du domaine de l’environnement qui porte sur un écosystème particulier. Les pays membre de cette convention couvre toutes les régions géographiques de la planète. Elle va donc définir les zones humides. L’intérêt est d’assurer la conservation et l’utilisation durables des zones humides et de leurs ressources.

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