Sujet d'invention, camp de concentration
Étude de cas : Sujet d'invention, camp de concentration. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar medlin • 11 Mai 2018 • Étude de cas • 1 025 Mots (5 Pages) • 713 Vues
Lecomte Medlin 1èreS2
français
Il était environs 7h et nous allions bientôt commencé les travaux ordonné par le commando, aujourd'hui nous allions travailler dans une usine d'armement quand, venant de la salle commune, nous entendions un cri, d'abord troublé nous décidions de rester a nos postes et ne pas prendre le risque de se faire punir par le surveillant, mais quelque instant plus tard, nous entendions un second cri, cette fois si c’était un cri perçant, qui provoquait des frissons jusqu'au plus profond de n'importe quel être, nous décidions après quelque instant de venir voir ce qu'il se passait, nous retrouvons une jeune femme, âgé d'à peine une trentaine d'année, nous vîmes de loin un ami a nous, nous nous rapprochâmes et nous lui demandions
« - Que se passe t-il ici pour avoir autant de bruit?
- Tu vois cette femme? Et bien elle viens de France est les armes que nous allions faire ce matin allées être utilisés pour tuer des gens dans son pays, elle s'est donc levé plus tôt pour aller casser les machines mais au moment où elle était en train de finir de les casser deux boches sont arrivés et l'ont battu puis l'ont ramenés jusqu'au camp pour aller voir le commando. Il la battu puis a décider de lui donner la peine de mort, il compte la mettre dans le Bloc 11 dans une des chambres à gaz
- La peine de mort?! Mais elle n'a commis aucun crime grave!
- Oui je sais, mais regarde il y a Jean qui arrive c'est quelqu'un de vraiment bien, je suis sur qu'il pourra faire quelque chose... Mais Alex est la aussi, espérons qu'il n'essaye pas encore de l'enfoncé pour se faire bien voir au près du commando
Nous regardions Jean arriver plein d'assurance mais aussi de bonté il s'approcha du commando et lui demanda ce qu'il se passa, il fût très surpris de savoir la sanction qu'elle endurera juste pour un simple geste de patriotisme envers son pays. De loin, nous le voyons discuté avec le commando mais nous entendions à peine leur discussion, nous décidions de nous rapprocher discrètement pour entendre ce qu'ils disaient, la pauvre femme était assise a terre, rendu affreuse à cause des nombreux coups reçus depuis ce matin, devant elle était tenu debout fièrement, comme supérieur à nous tous le commando qui la regardait négligemment, nous nous demandions vraiment comment Jean allait réussir à la sauver, à coté du commando se trouvait Jean d'un coté et Alex de l'autre. Nous réussissions enfin a parvenir à entendre la discussion:
« - Il n'y a pas de pitié à avoir avec ses personnes! dis le commando
- Vous aviez bien raison mon commando, il n'y a aucune pitié à avoir avec ses personnes, elle était consciente de l'acte qu'elle était en train d'accomplir, elle savait donc aussi les risques de la lourdeur de la punition! dis Alex
- Oui c'est exact, mais ne la tuer pas, elle vous est importante! Dis Jean
- Importante? Et pourquoi une vulgaire juive serait importante pour moi, elle ne représente rien du tout. Dis le commando
- Détrompez vous! Elle vous l'ai bien plus que vous le pensez, en effet elle sera utilisée pour une expérience. Dis Jean
- Une expérience? Dis le commando
- Oui, elle sera utilisé dans le but d’expérience secrète visant a retirer certaines parties des organes et voir combien de temps elle arrive à vivre sans. Dis Jean
- Mhh... Intéressant, cela pourrai faire avancer la médecine pour perfectionnée la race aryenne, elle est en très bonne santé et jeune, un très bon choix, aller faite la disparaître avant que je change d'avis et que je l’abatte maintenant devant tout le monde pour montrer l'exemple. Dis le commando
Jean se dépêcha de prendre la femme est l'emmena rapidement au sanitaire pour panser ses blessures, nous le suivions pour lui apporter notre aide. Nous nettoyons le sang, Jean nettoya ses nombreuses plais, grâce a son statue dans le camp il avait accès a une trousse de soins, mais il semblait ailleurs, nous décidions de lui demander ce qu'il avait
« -Qui a t-il Jean?
- Je ne l'ai pas sauvé, j'ai juste reculé leur de sa mort..
- Tu trouveras une alternative j'en suis sûr! Tu es son sauveur est le notre tu trouvera une solution
Jean sourit et continua à soigner l'ancienne condamné à mort
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