Les relations économiques franco-japonaises (résumé)

En résumé, la première grande période des relations franco-japonaises (1858-1911) a débutée après la conclusion du Traité franco-japonais d’Amitié et de Commerce.  La France a réussi à pénétrer dans les ports japonnais pour une « visite d’observation ».  Des missionnaires ont été envoyés pour former des traducteurs afin de faciliter les échanges et négociations avec le Japon.  Après quelques contacts, le Traité franco-japonais d’Amitié et de commerce est signé, et pendant les discussions, de nombreux présents sont échangés, et le Japon démontre de l’intérêt pour l’armement français.  A partir de ce moment, des groupes de conseillers français sont invités par le shogunat et c’est le début d’une coopération entre la France et le japon pour trois grands projets : l’établissement d’une usine sidérurgique à Yokosuka, la formation de trois corps de l’armée de terre, et l’établissement d’une école de français.  Là a été le début de la modernisation du japon. Ensuite, de plus en plus de japonais se déplacent en Europe pour connaitre et apprendre d’après  le modèle français.  Il y a non seulement échanges entre les modèles économiques, mais également au niveau de la différence des deux cultures.

Pendant la deuxième période (1911-1945), les inégalités sont ajustées et des relations égales entre la France et le japon débutent enfin.  Cependant, avec la guerre qui débute, les relations se fragilisent et connaissent une période politique très difficile.  L’influence française sur la peinture et la littérature est forte, mais pendant la guerre, la culture occidentale est interdite, et les activités sont cessées.

Lors de la 3e période, le japon a été vaincu et doit se refaire une santé. Ses relations à l’étranger doivent être rétablies.  Les artistes et les étudiants ont de nouveau la possibilité de se rendre en Europe.  Le transport aérien se développe durant cette période et facilite le contact France-Japon.  

Durant la 4e grande période (1980 à aujourd’hui), les échanges sont désormais enfin devenus matures et orientés vers le futur. L’événement « L’Année du Japon » en France a comme objectif de développer et maintenir une relation culturelle entre les deux pays et inciter les français  à la connaissance de la culture japonaise.

La relation France-Japon a connu bien des difficultés au courant des 130 dernières années.  Le Japon n’est pas seulement un pays économique, mais une société avec une culture riche qui est merveilleuse à découvrir.  La France a donc tout à gagner en poursuivant les échanges en ce sens.  Pourquoi ne pas aller développer des établissements d’apprentissage du japonais dans d’autres pays? D’autres continents?  Notre savoir n’est jamais assez complet, et la collaboration entre différents pays, peu importe la langue, est une richesse supplémentaire dont aucun ne pourrait affirmer pouvoir s’en passer.

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