Sous développement Durable Et Biodiversité à Madagascar

Ce document est un rapport Antheios. Antheios est une association s’adressant à tous ceux qu’intéressent la géopolitique et la géoéconomie et surtout, qui souhaitent réfléchir et débattre ensemble sur le déploiement des rapports de force mondiaux. Ce rapport a été écrit par Sophie Moreau, en 2005. Ce document s’adresse à la population, Moreau veut dénoncer et faire connaitre l’inefficacité et l’inutilité du développement durable à Madagascar tel qu’il est pratiqué. Ce document a été écrit quinze ans après la mise en place de mesures économiques et écologiques favorisant le développement durable. Il est destiné à paraitre dans la presse, dans ce cas-là, dans les Presses universitaires de France.

La problématique dominante du document est : Quelle est l’efficacité et l’utilité du développement durable. Quelles doivent être les mesures prises pour une écologie et une économie optimale. Et enfin, quels sont les avantages/inconvénients du développement durable. Différents thèmes sont abordés dans le texte … Premièrement, la population malgache double en vingt-cinq ans, elle doit donc pour répondre aux besoins vivriers, changer de stratégie. Madagascar va passer d’une stratégie relativement peu productrice à une stratégie extensive, consommatrices de ressources naturelles. Il est donc normal que très rapidement apparaissent des soucis d’inondations et d’aggravation de l’érosion. Les faits de devoir mieux gérer les ressources naturelles, de garder une production de masse et de protéger la faune et la flore deviennent urgents et obligatoires. C’est pourquoi, au début des années 1990, une politique environnementale impressionnante a été mise en place. Cette impressionnante révolution écologique devait palier aux problèmes environnementaux tout en permettant le développement de l’île. On appela ces mesures : développement durable. Mais une quinzaine d’années plus tard, peu de résultats convainquant, en effet, ces

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mesures sont limités par les failles fonctionnelles des ONG et plusieurs autres facteurs tels que l’enclavement, l’analphabétisme paysan, etc. D’après Sophie Moreau, le développement durable ne profite pas vraiment à l’île sauf peut-être aux forêts (à court terme) car la déforestation semble ralentie. L’auteur dit aussi qu’il sert à l’enrichissement de certaines personnes impliquées dans ces mesures de développement durable.

Comme souvent, un document ne peux montrer toutes les parties et/ou tous les aspects d’un sujet surtout quand l’auteur a un avis, une opinion sur la question. Dans ce document, il y a une vision incomplète des effets et conséquences de ces mesures qui ont été mises en place sur l’île. Sophie Moreau ne dit pas tout car le développement durable, tel qu’il est pratiqué ne peut avoir que des aspects néfastes ou mauvais. Il a surement fait évoluer le comportement des gens envers la réserve naturelle que représente Madagascar. De plus, elle exagère sur le fait que les ...

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