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Les Villes hispaniques et les frontières. DANS QUELLES MESURES LES VILLES HISPANIQUES SONT TRANSFORMÉES PAR UN MONDE QUI APPAREMMENT A ABOLI LES FRONTIÈRES ?

Dissertation : Les Villes hispaniques et les frontières. DANS QUELLES MESURES LES VILLES HISPANIQUES SONT TRANSFORMÉES PAR UN MONDE QUI APPAREMMENT A ABOLI LES FRONTIÈRES ?. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  18 Avril 2020  •  Dissertation  •  1 585 Mots (7 Pages)  •  568 Vues

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DANS QUELLES MESURES LES VILLES HISPANIQUES SONT TRANSFORMEES PAR UN MONDE QUI APPAREMMENT A ABOLI LES FRONTIERES ?

Pour répondre cette question d’abord j’expliquerai quelques aspects qui permettront comprendre l’existence de la frontière ou son abolition dans le monde actuel. Quelques notions générales d’ordre social et économie se mettront au service d’une réflexion sur la frontière dans le contexte sud-américain. Dans une dernière partie on verra comment Les villes frontières sont souvent impactées par des problèmes socio-économiques et ses territoires affectés par les problèmes des habitants migrants. Finalement cette réflexion se mis autour  des perspectives sur la situation des frontières à la ville hispanique, concrètement à la ville frontière sud-américaine.

LES FRONTIERES, EXISTENT-ELLES AUJOURD’HUI ?

Par définition une frontière c’est une convention qui fait l’objet d’un accord politique ou qui a été imposée par la force.

On assiste aujourd’hui à une sorte de combat entre deux types de forces par rapport les frontières. Celles qui puissent a la fermeture, et à l’enfermement des territoires et celles qui puissent à l’ouverture, à l’effacement et à la libre circulation (soit des habitants, de marchandise).   Cette dernière, plus récente que la première force, est une idée héritée sur laquelle le monde devrait être organisé sans frontières, le monde de la globalisation, c’est-à-dire le  monde conçu comme un espace de libre accès et d’ouverture économique.  Dans les années 90 et 2000 le monde a vécu une expansion économique  qui proposait une gouvernance mondiale et qui a prescrit une vision strictement rentable du monde. Ces phénomènes de régulation généralisée  en termes profitables ont imposé des conditions restreints au même niveau que de marchés standardisés, et ont constitué des idées Néolibérales.  

Des idées opposées se sont développé face aux abus de cette ouverture économique connue comme la mondialisation, en considérant l’importance de la délimitation et que le monde ne se réduit pas à un marché.  Dans un essai, « Éloge des frontières » l’écrivain et philosophe décrit la notion de frontière comme une nécessité intellectuelle et morale, « La frontière est ce qui donne du sens à notre monde. Elle est la première réponse au néant de l’espace et de l’existence.  Comment mettre de l’ordre dans le chaos? En traçant une ligne. En séparant un dehors d’un dedans. »[1] L’auteur était en lutte contre l’uniformisation du monde. Du même, quelques gouvernements ont eu la volonté de reprendre un control, exercer sa souveraineté et aussi une négation des règlements politiques et géopolitiques néolibérales. Quelques pays dans le monde font une résistance, un appel de protectionnisme qui conduit aux discours sur la démocratie, donc la frontière devient le symbole  de la souveraineté  à défendre. Il est donc nécessaire d’affirmer qu’aujourd’hui on vit dans un monde fini du point de vue les frontières.

DEUX FORCES OPPOSÉES

Dans un contexte ambivalent de la géopolitique de la fin du XXe siècle, il y a deux courants opposés : la mondialisation et le nationalisme (ou protectionnisme).

D’une parte, les idées politiques économiques Néolibérales sont imposées grâce à  un technicisme créant des outils standards pour tout le monde et pour tous les espaces, donc pour  les frontières. Ces idées sont acceptées par quelques secteurs qui favorisent le sans frontiérisme. D’autre parte,  on a le retour des frontières, qui représentent des forces opposées aux mondialistes car ils revendiquent des valeurs identitaires et nationalistes, une réintroduction des marqueurs d’espace des villes et des pays.  Quel est le meilleur projet ?  C’est un débat qui a existé depuis la deuxième moitié du XXe siècle, qu’on a bien sur Amérique du Sud et qui a impactée la configuration des villes.

Il semble que le courant géopolitique protectionnisme, c’est-à-dire la division du monde en frontières est considérée comme un des moyens de mieux protéger un territoire et que le monde est quasi divisé en états souverains car il n’y a plus de territoire que ni soit pas la possession d’un état.

Il est donc nécessaire d’affirmer que dans un monde avec des frontières, l’espace prendre des caractéristiques spécifiques selon ses propres problématiques et besoins. Les territoires se voient affectés par cette organisation du monde délimité. Donc les villes, qui concentrent une partie de l’activité économiques des pays  se transforment grâce aux aspects sociaux, politiques et économiques.      

A continuation l’intérêt de cette réflexion se mis sur la ville frontière sud-américain, pour cette raison on verra des aspects sociaux qui ont impacté son développement. 

Quand on pense à une ville sud-américaine souvent les images qui nous reviennent sont des villes  avec des hauts indices de violence et de pauvreté, villes tentaculaires.   Quelques aspects ne sont pas faux et pour cela on mentionne ici quelques problématiques. Des phénomènes de violence, l’absence de réformes agraires entre autres ont provoqué un afflux massif de la population de la campagne  à la ville, d’une ville à une autre, d’un pays à un autre pays.  Ces phénomènes de migration constante nous ammène à parler des villes sud-américaines surpeuplées et qui ne cessent pas de grandir, de se refaire.

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