Les pirates de Somalie

1. Un contexte de crise

1. Définition de la piraterie
2. Début de la piraterie
3. Evolutions des attaques
4. Mesures mises en place

1. Problématique : En quoi une intervention extérieure était nécessaire ?

1. Représentation social

1. Qui sont les pirates de somalie ?
2. Quels facteurs les ont-ils poussés à agir ainsi ?
3. Quels sont les conséquences de leurs actes ?

Vous vous souvenez peut être pour certains de l’affaire du Ponant survenue le 4 avril 2008  dont la presse s’était emparée. Les Otages avaient été libérés le 11 avril à la suite d’un versement d’une rançon. Une partie des pirates ont été appréhendé en territoire somalien lors d’une opération héliportée montée par la france qui a aussi permis de récupérer une partie de la rançon. Cet événement marquant, a eu lieu malgré l’opération Atalante déjà déployée.

Cette attaque n’est pas cas isolée, depuis le début des années 2000 de nombreuses attaques ont lieux régulièrement dans cet zone aux larges des côtes somalienne. C’est ce dont nous allons traités.

Dans un premier temps je vous exposerait le contexte de cet état en crise depuis une vingtaine d’années, L’évolution de la pirateries et les zones les plus touchés et enfin les mesures mises en oeuvre pour contrer ce phénomène.

Dans un second temps je vous exposerait la problématique suivante : En quoi une intervention extérieure était elle nécessaire ?

Pour comprendre ce phénomène et la nécessité des mesures en places nous nous intéresserons aux principaux concernés c'est à dire les populations somaliennes et les pirates. Pour cela nous nous intéresserons à leurs motivations et aux conséquences de leurs actes pour enfin comprendre la situation actuelle.

Qu’est ce que la piraterie ?

 La piraterie est une menace difficile à définir, appréhender et à contrecarrer. D’où différentes définitions. Celle de l’ONU, énoncée lors de la conférence d’UNCLOS dite de Montego Bay, considère qu’un acte de piraterie ne peut être considéré comme tel que dans les eaux internationales (les actes de piraterie à l’ancrage ou dans les eaux territoriales sont alors considérés comme du brigandage). Le Bureau Maritime Internationale qualifie la piraterie comme étant « Tout acte d’abordage contre un navire avec l’intention de commettre un vol ou tout autre crime et avec la capacité d’utiliser la force pour l’accomplissement de l’acte », quelle que soit la nature ou la gravité du crime et sans faire de distinction de zone et permet ainsi de définir plus précisement les actes menés par le Somaliens.

Début de la piraterie

La piraterie résulte d’un contexte économique et politique compliqué. Apres la chute de l’état somalien en 1991, le pays a sombré dans une guerre civile Dans ce contexte, un développement économique et humain est particulièrement difficile, ce qui explique les indices très mauvais de la Somalie. Extrêmement pauvres, touchés par une guerre sans fin, sans réel gouvernement pour les soutenir, les populations littorales somaliennes sont en plus

Je vous exliquerai d’avantages les causes qui ont entrainer le somaliens à devenir pirates

1. Evolutions des attaques

Augmentation de la piraterie à partir de 2009
2011 ; 176 attaques
2010 : 174 attaques il y a eu une intensification des violence et un allongement des durées de détention + extension de la zone d’attaques
2009 : 163 attaques

Baisse considérable des attaques à partir de 2011 passant de 176 à 34 attaques

Les zones les plus en proie à la piraterie, à l’embouchure du golfe Persique, dans le détroit de Bab el Mandeb, et dans l’océan Indien, 30 000 tankers et porte-conteneurs transitent chaque année. Cela représente 30 % du trafic pétrolier et 70 % du trafic marchand du monde. Les trois-quarts du trafic maritime entre le Proche et l’Extrême Orient passent par le détroit de Malacca, soit 300 navires par jour, dont 25 pétroliers. Chaque année, 500 milliards de dollars y transitent, de quoi attiser les envies et les tentations.

La zone d’opération des pirates reste très vaste. Elle est grande comme l’Europe, de l’Ouest, et se situe au large des côtes somaliennes, jusqu’au canal du Mozambique, au sud, et aux Seychelles, à l’est.

Une zone d’intervention très vaste La zone dangereuse commence dans le sud de la mer Rouge, comprend le détroit de Bab el Mandeb, se poursuit au sud le long de la Somalie puis aujourd’hui au nord du Kenya et à l’est vers les Seychelles. Cette zone correspond à la surface de la mer Méditerranée.

le détroit de Malacca est la première zone touchée

1ere attaques 1999 cargo panaméen alontadra rainbow attaqué 17 membres pdt 17 jours laisser sur un canot avant d'être récupéré par un bateau de pêche thaïlandais

2006 1er texte contre la piraterie il s’agit de l’accord de coopération régionale pour combattre la piraterie et le vol à main armée contre les navires en Asie

sep 2006

urgence car 80000 navires passent par le détroit de

le détroit de Malacca est située entre l’indonésie et la péninsule malaise et est considéré comme le passage le plus dangereux du monde de par sa géographie,ses récifs et banc de sable, il est nécessaire de naviguer à petite vitesse ce qui facilite grandement les attaques des pirates

Quand ?

Des variations saisonnières Des périodes de recrudescence d’attaques sont observées en fonction de l’état de la mer, notamment pendant les mois d’avril et mai, puis en octobre et novembre, au rythme de la mousson.

1. Mesures mises en place

Depuis longtemps, les actes de piraterie dans le golfe d’Aden, au large de la Corne de l’Afrique et dans l’océan Indien minent les efforts humanitaires internationaux déployés en Afrique et mettent en péril la sécurité de l’une des routes maritimes les plus importantes et les plus fréquentées au monde, qui constitue la voie d’accès au canal de Suez. Les deux opérations multinationales Atalante et Ocean Shield ont contribué à mettre en place un corridor maritime sécurisé (IRTC) le long de cette SLOC stratégique. Avec une grande efficacité pour contrer la piraterie. A ces actions s’ajoutent les mesures judiciaires contre les pirates capturés. Les pirates peuvent encourir jusqu’à 30 ans de prison, ce qui un facteur assez dissuasif.

...