CM geste et effort

Le Geste et l’effort

Item 2 du programme

Interroger la dimension corporelles de l‘ep . Si la notion de geste renvoie à une approche esthétique

Objectif du CM

• apport         d’éléments
• donner        une matière à penser sur Geste / effort / corps … c’est vaste         

La question du geste et de l’effort = question d’une meilleure santé, ou d’un accomplissement même en écrit 2, c’est la première fois qu’un terme apparaît dans les deux écrits

L’Effort :

L’importance du terme en E1 et E2 = considération de la DGESCO, l’EPS est la discipline la mieux placée pour parler d’effort, peut être en raison de la dimension corporelle qu’elle revêt

Cette notion en E2 « Effort, Bien être et Sensation » est associée au Bien – être . Mais si l’on considère le geste comme une forme d’effort, peut-il s'entendre comme une douleur, une peine, en opposition avec le plaisir ?

Aline PAINTENDRE sur step et Yoga, elle trouve fondamental de mieux identifier son corps et ses sensations .. c’est une condition pour atteindre le bien être

Effort = travail pour mieux se sentir dans son corps (la maison)

Michel Foucault, Surveiller et Punir (1979)

la théorie du biopouvoir, toutes les politiques de santés sont appréhendées comme forme de gouvernement de la vie ( manger, bouger ; politiques de lutte vs sédentarité)

Ce sont des mesures qui exercent un effet coercitif (qui exerce une contrainte) qui contraint les individus et l’ensemble de la population, il s’agit ici de gérer le vivant → politique de santé

Biopouvoir → pouvoir

« Le corps est un lieu d’exercice d’un pouvoir

chaque individu va intérioriser un ensemble de comportements, on va faire ce qu’on attende de moi

ce qui est culturel, les attentes sociales vont influencer notre façon de nous tenir

(petit pouvoirs / qui se concentrent dans le corps )

techniques qui servent d’arme, de relai, de point de communication

…. mais là ou il y a pouvoir, il y a résistance

Le corps est aussi un lieu de résistance

c’est bien parce qu’il y a un pouvoir que la résistance est libre

« je m’en vais » mais si il y a une porte, il y a une résistance

Ces résistances sont nombreuses

hétéronormativités = formes de résistance dès qu’on en sort

que penser d’une éducation corpo qui n’est pas seulement un endroit ou on exerce un pouvoir, mais finalement ou les corps peuvent prendre conscience des pouvoirs qui s’exercent sur eux

= une EPS dans laquelle on créerait des espaces de liberté ou on prendrait conscience des pouvoirs qui s’exercent sur nous, dont des attentes pèsent sur moi

comment retourner ou détourner des pouvoirs sur moi

comment « faire corps » ? = comment fabriquer et travailler son propre corps différenmment au sens hors des traditions / des hiérachries

depuis milieu du 20ème, les politiques on été plutoto paternaliste )= ensemble de normes et de règles de manière coercitive, on pensain, on imposait un ensemlmble de normes sanitaires à l’ensemble de la population, coporté par le courant hygiéniste, néohygiéniste

à partie de la deuxième partie du 20ème des auterus (berlivet et covenet) le discour en matière de santé publique a changté de forme et il prend un toutnant davantage libéral dans les politiques de santé, on fait la promotion de la santé pour tous, on vous demande de faire des choix favorables en terme de santé, on favorise l’éducaiton à la santé en réalité, les pratiques deprévention sont aujourd’ui présentée comme positive et libératrice, et permettraient d’atteindre une vie meilleure

accomplissement en terme de santé mental, physique et sociale

dans les années 2000, on donne des conseil nutrition aux élèves, dans la CP5, on fait de la précention, c’est aux élèves de faire ces choix, en connaissance de cause.

Foucault

Bertrand during, de manière g il y a un lien entre les exercices corporeles et l’éducation morale, ce qu’on vise à travers les ex corporeles et les élément techniques, ce n’est pas qu’un perfectionnement physiques mais aussi moral, on est des éducateurs de ce cîté là

on pense que les exercices physiques vont avoir une portée morale, même avant d’entrer au staps, on avait ce truc … les exercices qu’on fait réaliser aux élèves, les efforts qu’on demande pour acquérrir cisent autre chose qu’ue amélioration physique et mécanique, il y a une visée morale, une morale de l’effort

le corps n’est pas un lieu ou ce pouvoir va s’exercer de manière univoque, le corps n’est pas unique, il n’est pas lemême pour toutes et tous

Bourdieu, Les méditations pascaliennes, 1997

l’ordre social n’est que l’ordre des corps,

Le corps est dans le monde social, mais le monde social est dans le corps

les normes et manière de bouger son construires socialement « nous apprenons par corps »

la nootion d’effort, on peut se dire que ce que je vais demander aux élèves en EP, le lancer à bras cassé, ces techniques vont demander aux élèves plus ou mooiins d’effort, c’est une dynamique qui demande à combler la technique et ce qu’on me demande d’apprendre

un sujet dans le corps, il faut aller dans une hétérogénéité, les corps sont divers, les réisstances aussi.

Définition :

Effort : un auxiliaire de la tension ou de la volonté, l’effort est très dépendant de notre volonté c’est u e réalité mentale et je vais le traduire en mouvement, c’est une opération double, intellectuelle, psychyque et matérielle, qui se concrétise.

La notion d’effort, elle émerge vraisemblablement avec le renouveau de la philosphie de l’âme, avec Maine de Biran , cette philosophie de l’action et de l’agir au 19ème, on attache de l’importance à cette notion d’effort, on va en faire le moteur du changeent pour soi et de la liberté,

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