La règles des trois unités - La règle d'action dans l'école des femmes

La règle classique de l’unité d’action consiste à concentrer une seule action que le personnage principal devra faire évoluer tout au long de l’œuvre. En effet, Arnolphe, le personnage principal, est présent dans la grande majorité des scènes de la pièce. Ainsi, dès l’acte 1, on apprend qu’Agnès a été élevée dans la solitude et l’ignorance par crainte d’Arnolphe que la jeune femme n’acquiert trop de savoir et puisse être infidèle auprès de l’homme. Puis à l’acte 2, nous découvrons qu’Horace fait d’Arnolphe, son rival, son confident et lui expose ses sentiments pour Agnès. L’arrivée d’Horace inquiète de plus en plus Arnolphe qui s’empresse de devancer son mariage avec Agnès. Cet homme obsédé par la sexualité et craintif de l’infidélité, apparait à l’acte 3 comme très confiant de lui-même, pensant qu’Agnès avait rompu ses liens avec Horace. Horace lui communique alors la nouvelle stratégie qu’emploie Agnès pour communiquer avec lui. Arnolphe devient encore plus acharné à marier la jeune fille. On le remarque de par son orgueil, son obsession et son acharnement. Tout au long de la pièce, l’état psychologique du personnage principal évolue d’un sentiment de puissance infinie à un sentiment de désespoir et de trahison de manière répétitive. Enfin, Arnolphe disparaît lorsqu’il échoue de marier Agnès. Pour conclure, plus la pièce avance et plus nous observons qu’Arnolphe persiste dans ses efforts pour atteindre son but : marier Agnès et l’influence qu’il porte sur la pièce s’accentue jusqu’à la fin. La règle classique de l’unité d’action consiste à concentrer une seule action que le personnage principal devra faire évoluer tout au long de l’œuvre. En effet, Arnolphe, le personnage principal, est présent dans la grande majorité des scènes de la pièce. Ainsi, dès l’acte 1, on apprend qu’Agnès a été élevée dans la solitude et l’ignorance par crainte d’Arnolphe que la jeune femme n’acquiert trop de savoir et puisse être infidèle auprès de l’homme. Puis à l’acte 2, nous découvrons qu’Horace fait d’Arnolphe, son rival, son confident et lui expose ses sentiments pour Agnès. L’arrivée d’Horace inquiète de plus en plus Arnolphe qui s’empresse de devancer son mariage avec Agnès. Cet homme obsédé par la sexualité et craintif de l’infidélité, apparait à l’acte 3 comme très confiant de lui-même, pensant qu’Agnès avait rompu ses liens avec Horace. Horace lui communique alors la nouvelle stratégie qu’emploie Agnès pour communiquer avec lui. Arnolphe devient encore plus acharné à marier la jeune fille. On le remarque de par son orgueil, son obsession et son acharnement. Tout au long de la pièce, l’état psychologique du personnage principal évolue d’un sentiment de puissance infinie à un sentiment de désespoir et de trahison de manière répétitive. Enfin, Arnolphe disparaît lorsqu’il échoue de marier Agnès. Pour conclure, plus la pièce avance et plus nous observons qu’Arnolphe persiste dans ses efforts pour atteindre son but : marier Agnès et l’influence qu’il porte sur la pièce s’accentue jusqu’à la fin.

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