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Analyse de Texte gitan et phédon

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Par   •  17 Octobre 2022  •  Cours  •  783 Mots (4 Pages)  •  318 Vues

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Extrait 13 : Giton et phédon

  1. Portrait du riche Giton
  1. L’opulence

Peinds le portrait d’un homme riche sans jamais nous parler d’argent sauf à la fin paragraphe, la dernière phrase. On d’écrit sa manière d’être

Le temps est figée, utilisation présent de vérité générale

Énumération l.1

On voit une éloge au départ de Giton mais après on fleurte avec le ridicule avec « joue pendante ». Il parle autant qu’il mange, on sait qu’il parle beaucoup avec le champ lexical de la parole comme « dit »

Il a une attitude grossière, donc on fait plus un portrait péjoratif

On voit une outrance dans ces propos

On nous montre maintenant un portrait péjoratif de Giton quand au début on pensais un portrait mélioratif, La bruyère critique la société en entière

Il fait répété donc il ne porte pas attention à ce qu’on lui dit

Il à un profond m’épris des autres

  1. La vulgarité

Plus rien ici maintenant est mélioratif

On a des verbes d’actions très bruyant qui montre qu’il n’a aucune éducation

Il ne se comporte pas correctement en société

Il n’y a pas de connecteurs logique dans ce texte jusqu’a présent On apperçoit dans le rythme la modernité, paradoxe asyndéthique-> cela va créé une dynamique du portrait

Le fond épouse la forme dans ce texte

La bruyère critique le comportement lié à la richesse

Elle donne du mauvais gout

Comparatif de supériorité « plus de place… », Giton envahie tout l’espace

Il envahie un espace presque scénique, comme si il était un acteur dans cette société.

On observe des parrallélismes de construction qui opposes les personnes

« aussi longtemps qu’il veut parler » on observe l’arrogance de Giton mais aussi de son entourage.

Ses convives ne sont pas honnêtes dans un monde lié aux apparences, l’absence de reaction des autres montre une société contrainte au silence car elle manque d’argent pour formuler une opinion.

  1. L’exubérance

« s’il s’assied » complément circonstanciekl de condition à la valeur causal de la proposition principale

Cela va justifier son comportement quand il ne bouge plus. Il abuse cette richesse et peut évoluer comme il l’entends, c’est une réaction de cause à effet. Il est orgueilleux et il a une haute opinion de lui-même

« découvrir son frond » cela est ridicule lorsque l’on connais le personnage

On voit l’orgueil du personnage avec « par fierté », « par audace »

Cette orgueil est traduit par cette éxubérance

Rythme dynamique avec une vivacité

Il est mystérieux car ne sait pas grand-chose, il parle sans savoir car il n’a pas de culture « affaire du temps » -> politique

On voit une certaine ironie avec la pauvreté d’esprit qui contraste avec sa richesse matériel.

« il se croit des talents et de l’esprit »

Il est très prétentieux, il croit lui-même à ces propos mais il est le seul

Il ne possède ni talent n’y esprit mais existe que par sa richesse

Tout est dans la dernière phrase

On le décrit de manière péjorative, il est le contraire de l’honnette homme

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