Méthodologie commentaire d'arrêt
Commentaire d'arrêt : Méthodologie commentaire d'arrêt. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar fafou1 • 22 Octobre 2021 • Commentaire d'arrêt • 545 Mots (3 Pages) • 330 Vues
En commentaire d'arrêt
Pour faire une bonne fiche d'arrêt, il faut tout d'abord lire plusieurs fois l'arrêt qui est demandé de commenter, afin de comprendre au mieux. Après cela décortiquer toutes les informations que vous venez de lire et les mettre au clair et les organisées. Utilisez des couleurs différentes qui correspondra a vos parties.
Pour faire une bonne introduction il faut arriver à définir les 7 étapes :
- une phrase d'accroche qui introduit le sujet
- identifier l'arrêt et le rappel des faits
- définir la procédure
- établir le problème juridique, ce a quoi va répondre votre argumentation
- donner la solution de la Cour
- faire son annonce de plan avec (I) et (II).
Pour établir le plan de votre argumentation il vous suffit de vous appuyer sur le déroulement de l'arrêt à commenter.
mettre les titres ne comportant pas de verbes conjugués
titre I
faire les chapeaux annonçant vos sous parties
sous partie A
sous partie B
faire une transition entre la partie I et la partie II
titre II
chapeaux
sous partie I
sous partie II
pour finir dans un commentaire d'arrêt il n'est pas nécessaire de faire une conclusion.
Comment écrire une sous-partie ?
Structure de la sous-partie en trois temps
1 : Citation d’un passage de l’arrêt
Chaque sous-partie commence toujours par une citation de l’arrêt ou a minima une mention
de celui-ci. D’une part, cela évite de tomber dans la dissertation ; d’autre part, cela évite de
parler d’un autre problème que celui de l’arrêt.
2 : Explication du passage cité
On ne raisonne jamais par l’évidence : un texte n’est pas « clair », ne dit pas « la » vérité, n’est
pas irréfutable. On évitera toujours (et cela vaut pour tout exercice) le registre de l’évident, du
clair, du manifeste… On doit décrire le passage cité (ex : la Cour retient ceci en énonçant telle
raison – c’est le « comment ») afin ensuite de l’expliquer (ex : les juges se fondent donc sur tel
concept, telle qualification ou sur tel précédent jurisprudentiel – c’est le « pourquoi »). C’est
ensuite seulement que l’on va apprécier en argumentant. Cette solution ainsi
...