Séquence 1 HG20 cned
Cours : Séquence 1 HG20 cned. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Shannon Casagrande • 24 Juillet 2019 • Cours • 1 103 Mots (5 Pages) • 543 Vues
Histoire-géographie séquence 1
Chapitre 1 : Les population de l’Europe De l’Antiquité au 19ème s.
Conclusion : 1 : on peut donc dire que l’augmentation de la population mondiale a subi beaucoup de fluctuations depuis l’Antiquité. En revanche, un tournant démographique important a lieu tout au long du 18ème s. et du 19ème s. en Europe.
2 : la démographie des peuples européens a suivi la même trajectoire que le reste du monde jusqu’au milieu du 18ème s. avec des fluctuations prononcées de son peuplement. Mais à partir de la seconde moitié du 18ème s. et tout au long du 19ème s., les européens ont connu la transition démographique qui leur a permis de voir leur nombre augmenter rapidement pour finir par représenter 26% de la population mondiale en 1900.
Aujourd’hui, l’Union européenne compte environ 500 millions d’habitants donc 8% de la population mondiale. (Toute l’Europe :750 millions, 12%)
La répartition de la population mondiale est très inégale, on remarque trois foyers majeurs depuis l’Antiquité, le foyers chinois, indien et européens. La permanence du peuplement est frappante durant tout ces siècle, la moitié de la population mondiale ce concentre uniquement sur ces trois foyers. L’Europe, lui, a profité d’atouts naturel favorable à un peuplement.
A partir du 18ème s. la population mondiale n’a cessé d’augmenter. Au 19ème s. cette augmentation a pris une ampleur considérable. En 1750 la croissance annuelle de la population mondiale était d’environ 3 millions de personnes, 1850=6,5 millions, 1900=12 millions en plus chaque années. Ceci s’appelle la transition démographique.
Dans l’histoire il y a eu des grandes phases de migrations notamment de la part des européens. Les hommes ont été amenés à migrer pour plusieurs raisons : pour trouver de nouvelles terres agricoles, espéré une amélioration de leur conditions, des raisons politiques mais aussi des migrations forcées. Le 19ème s. est le siècle des migrations part excellence. 60 millions d’Européens ont participé au migrations de masse transatlantique.
La révolution des transports et l’industrialisation ont favorisé ces migrations.
Chapitre 2 : L’émigration d’Européens vers d’autres continents au 19ème s.
Conclusion : 1 : l’émigration irlandaise est devenus un phénomène majeur de l’histoire de ce pays et une démarche naturelle pour les Irlandais. La population n’a fait que décroître de 1840 à 1930, passant de 8 millions à 4 millions ce qui est un phénomène unique en Europe.
On peut reprendre la formule des historiens Sheridan Gillet et Roger SWIFT : « L’immigration irlandaise fut un filet d’eau dans les années 1790, un courant dans les années 1820, une rivière dans les années 1840 et une marrées à partir d la fin des années 1840. »
Tout au long du 19ème s. la population de l’Europe connaît une forte croissance. Ce sont des millions d’Européens qui décident d’émigrer outre-mer (majoritairement après 1840). Il y a eu trois vagues. 1 :constituée de Britanniques et surtout d’Irlandais vers 1850. 2 :constituée d’Allemands et de Scandinaves. 3 :vers la fin du siècle, constituée d’Européens du sud (italiens) et d’Européens de l’est (polonais en majorités juives). Les migrations ne sont pas toujours définitive.
La France constitue une exception en Europe, elle est un terre d’immigration.
Les raisons sont d’abord économique, ils fuient la misère tout en espérant faire fortune. D’autres veulent échapper aux persécutions politique ou religieuse comme les juifs qui fuient les pogroms. Les payes d’accueil
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