Le personnage de roman, du XVIIème siècle à nos jours
Guide pratique : Le personnage de roman, du XVIIème siècle à nos jours. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar guigui6475 . • 11 Décembre 2017 • Guide pratique • 884 Mots (4 Pages) • 636 Vues
Guillaume
Bauder
PBS
DST 2
Le personnage de roman, du XVIIème siècle à nos jours
I. Question sur le corpus
Quelles sont les caractéristiques des figures maternelles dans les textes du corpus ?
Ces trois textes soumirent à notre étude appartiennent au XXème siècle et étant des romans. Dans chaque texte nous est montre le portrait des mères ou de grand-mère, par le quelles la vie du narrateur va tourner autour.
Dans le Texte A de Colette la narratrice ne fait que parler des souvenir de sa mère « elle », la narratrice (la fille de la mère dont elle parle en permanence) va nous montrer que sa mère est très forte et fortunée et influente par le billet de son habillement, elle va en permanence être décrit comme portant de la fourrure d’animales des « gants très chers ». Tandis que dans le texte B de John Steinbeck il vat nous passer un portait plus enrichit de la mère l.5 « connaitre, accepter, accueillir avec joie » on peut même dire qu’elle est perçue comme une déesse l.1 « Elle regardait dans le soleil. » l.16 « si elle vacillait, la famille entière tremblait »l.2 « bonté » l.3 « tragédies » sous entendant qu’elle est plus forte et supérieur .le Texte C nous montre une grand-mère nommée Mme Tim elle est la femme du châtelain de Saint Baudin qui est un châtelain énorme et impressionnant il y a même un labyrinthe de buis elle a beaucoup et le narrateur l.1 « Mme Tim était abondamment Grand-mère » .nous fait bien partie de tous ce qui lui appartiens comme si il la dénonce en quelle que sorte comme dans le texte A où la fille de Sido a un point de vue subjective sur sa propre mère .
Commentaire
L’extrais de Jean Giono, Un roi sans Divertissement nous vient du XXème siècle, c’est un roman qui nous montre le portait d’une femme, Mme Tim qui est la femme du Châtelain de Saint Baudille. Ce sont les souvenir que le narrateur étant le petit fils de cette dernière a des fêtes familiales qu’elle organisent qui sont d’ampleurs spectaculaire .Nous nous intéressons alors au fait que Mme Tim est au centre de tout et qu’elle est le portrait de tous les Abus .
Mme Tim au centre de tout
Tout d’abord , Mme Tim est au centre du carde de l’histoire. Le narrateur nous montre que mme Tim est au centre du cadre en nous convaincant que c’était des évènements spectaculaires l.32 « C’était à voir ». Il a le mouvement de foule et de nouveau un élément de persuasion l.25 « les autres giclaient autour d’elle , on l’aurait toute voulue ». l’on peut dire qu’on « Voit » le cadre qu’elle dirige car le verbe voire est employer a multiple reprise nous montrant de regard
Ensuite, La grand mère du narrateur est mis au centre de la vie comme elle est divinisé. Elle est devant les nourrices qui porte les derniers nés elle crée en quelque sort la vie l.25 « Derrière elle, les nourrices portaient encore les derniers-nés dans des cocons blanc »
Enfin, cette extrais nous montre que Mme Tim est au centre de l’action. Elle décide de tout elle ordonne son messager de faire le tour des trois ménages l.6 « Le messager de Mme Tim avait toujours l’ordre de faire le tour des trois ménages de tout ramasser », l.19 « Mme Tim était toujours la tambour-major ». Elle est généreuse elle offre beaucoup si qui est démontrer par une énumération à l.8 « des gouters dans le labyrinthe …, des promenades à dos de mulets ……, des jeux sur les terrasse » et
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