Isabelle Sourbès-Verger : Synthese ESKA : "la Chine dans l'espace et le rêve chinois".

Fiche de lecture

Intro:

L'ouvrage actuelle est un article de l'ESKA écrit par Isabelle Sourbès-Verger qui est une géographe, chercheur au CNRS et spécialiste des politiques spatiales. L'article est paru en avril 2020 dont le titre est "la Chine dans l'espace et le rêve chinois".

Synthèse :

Cet article s'intéresse sur "les modalités d'intégration des activités spatiales dans le projet politique national et international chinois et ces manifestations dans l'occupation actuelle de l'espace circumterrestre" ils s'organise en 3 parties qui contiennent chacune entre 3 à 4 sous-parties.

I- La longue marche spatiale : 1956-1977

Des 1956 les Chinois veulent s'inscrire dans un "objectif d'affirmation de la nouvelle Chine". Pour cela, Mao Zedong ( homme d'état et chef militaire chinois et aussi l'ancien président de la république populaire de Chine ) a prononcé un discours dans lequel il "affiche sa volonté de voir la république populaire de Chine participer plus tôt à cette nouvelle aire".

À partir des années 1950, la maîtrise des bombes nucléaire est considéré comme prioritaire pour pouvoir assurer la sécurité national. En avril 1956, la commission militaire centrale étudie le projet présenté par Qian Xuesen (spécialiste en aérodynamique et cybernétique) qui consiste à créé un programme de missiles.

En octobre 1956 le central décide donc la création de la cinquième académie.

Alors que au milieu des années 1950, les capacités techniques industrielles et scientifique de la Chine sont très limités les scientifiques chinois on décider de solliciter l'Europe et les États Unis pour aider à la reconstruction nationale.

Suite à cela, les experts soviétique guident la mise en place de la coopération scientifique et technologique avec l'union soviétique. Grâce à l'obstination chinoise , les premiers missiles R-1 correspondant à la reconstitution soviétique dès lanceur allemand V2 font leurs apparitions.un nouvel accord est signé suite à la visite de Mao à Moscou cet accord consiste  à prévoir la fourniture en janvier 1958 du modèle R-2 moins performant que le R-7 utiliser pour la première mise en orbite de l'histoire.

Au 8e congrès du parti en mai 1958, la proposition  du projet 581 est soutenue par Mao. CJe le ci comprend 3 étapes:

• le développement d'une fusée sonde
• Lancement d'un satellite de 200Kg
• Et enfin, lancement d'un satellite de plus d'1 tonnes.

Lobjectif annoncer était de rattraper les nations industrialisé en 15ans.

En aout 1960, les experts soviétiques decident de mettre fin a la la collaboration sino-soviétique alors que la chine na pas encore eu l’occasion de tester son premier missile de conception soviétique et doit maintenant compter sur ces propres forces. La chine parvient alors avec succès l’envoie d’un missile ( l DF-1 soit l’equivalent du R-2) en novembre.

En 1964 soit trois ans plus trad, les chinois réussis le tir du DF-2, un missile de portés intermédiaire plus puissante que le precedent. Cela montre alors que les équipes chinoises ont réussis a devenir autonomes. Grace au succès des missiles DF-2 une voie de développement d’un lanceur spatial c’est ouvert pour les chinois. A partir de mai 1965, Zhou Enlai donne son accord au programme 651 et a la creation d’une institue qui porteras la meme nom. Grace a cela les preoccupation politique et la volonté de prestige sont flagrant, ils ont pour but d’ajouter des spécificités au satellite comme par exemple qu’il soit visible de la terre a l’œil nu ou encore qu’il diffuse une chanson audible sur l’ensemble du globe. Tout cela a été decider a l’issue de 42 jours de reunion ou des représentants de toutes les institution y participaient.

Enfin, le debut du programme spatial est place sous la responsabilité de la CAS; l’organisation industriel s’inspire beaucoup de celle des soviétiques tout semble bien se dérouler mais très vites les chinois vont s’apercevoir d’un manque d’efficacité du a la mise en place de deux lignes de commandement parallèles qui sont sensé revenir les derives possible a l’attribution des ressources a partir d’un certains plan. L’académie des sciences a elle la responsabilité de la recherche et développement du satellite et se charge aussi de le suivre depuis le sol.

D’apparence, les chinois semblent sen sortir aisément mais faute d’organisation et de sécurité nationales toutes les installations sont disperser ce qui complique la gestion du programme et le transport des différents elements de la fusée.

En 1966, une révolution culturelle est déclenchée, Elle a donc un très fort impact sur les activités spatiales. Lin Bao successeur de Mao assume une ambition d’affirmation internationale pour la chine et fixe des objectif qu’on pense irréalisables pour la chine a cette epoque a cause de beaucoup de facteurs qui n’aident pas a la réalisation du projet comme par exemple: La position idéologique des gardes rouges pour les intellectuels ralentissent les programmes. Leurs attaques        personnelles désorganisent  le travail d’equipe ce qui a  permis a de nombreux membres d’être en contact avec l’occident. Cela se produisait surtout au sein de l’académie des science ou un scientifique (Zhao) c’est fais violemment attaque ce qui l’a contraint a être demis de c’est fonction et c’est suicider par la suite.

Suite a cet événement Zhou Enlai et Nia Rongzhen prennent l’initiative que le 7eme ministère passe sous la responsabilité de l’armée populaire de la rébellion cela garantirait donc l’attribution des ressources en materiel et la sécuriser du personnel. Sun Jiadong, un des premier responsable du spatial chinois est nomme responsable du programme de satellite.

Pekin et Shanghai devenu des rivales entraine plus de complication a la mise a bien de se projet ; cette rivalité se traduit par le programme de deux lanceurs concurrent un de Shanghai et un de pekin. En plus de cela le secteur est confronter a un probleme de rarefaction de ressource matériel et humaine.

A tout les différents problèmes que peut rencontrer la chine pour rattraper son retard on peut y ajouter un retard des capacités industriel de ce pays, cela représente alors un véritable handicap pour la chine. Le secteur du spatial depends des efforts réalisé pour la mise en place des moyens de production d’un effort technique suffisant. Zhou Enlai et Nia Rongzhen permettent de développement industriel en 3 étapes

1. Imitation
2. Amelioration
3. Et recreation.

A partir de 1966 a 1976, Apres de 1400 machines de hautes technologies ont été construite qui répondent elles aussi aux exigences du troisième front.

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