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Note De Lecture : Les raisons du paysage, De la Chine antiques aux environnement de synthèse Augustin Berque, 1995

Fiche de lecture : Note De Lecture : Les raisons du paysage, De la Chine antiques aux environnement de synthèse Augustin Berque, 1995. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  20 Novembre 2016  •  Fiche de lecture  •  910 Mots (4 Pages)  •  1 062 Vues

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Note De Lecture :

Les raisons du paysage, De la Chine antiques aux environnement de synthèse

Augustin Berque, 1995

Les raisons du paysage est un livre écrit par Augustin Berque enseignant des hautes études en sciences sociales et spécialiste du japon de son état, au vu de l'interet que prete les japonais au paysage on peux donc comprendre la raison de l'étude du paysage par Berque de plus le caractère très large du paysage pose de nombreuse question sur l'importance qu'il touche dans nos société, on peux donc comprendre cette volonté de créer une « théorie du paysage »

On est donc en droit de se demander si le paysage est percu de la meme manière partout et si toutes les sociétés conçoivent ce concept. Et Augustin Berque va répondre à ces questions au cours de son livre et tout d'abord afin de comprendre le paysage il introduit la base qui permet de distinguer les cultures paysagères des autres, ces critères sont :

-La représentation Linguistique : si il existe ou non des moyens d'exprimer le paysage

-La représentation Littéraire : le paysage est vu ou non comme quelque chose de digne d'interet qu'on peux en vanter la beauté

-La représentation picturale : Le paysage est il un thème central ou juste un décor, un fond

-La représentation Jardinière : Le paysage est il ou non un sujet si important qu'il mérite d'être reproduit

Grâce à ces instructions Auguste Berque va donc pouvoir nous guider à travers son livre.

Ainsi dans le premier chapitre de son livre Augustin Berque décide de donner sa propre définition du paysage. Selon lui il est donc non pas comme on pourrait le penser une évidence naturelle ou encore une idée conceptuelle (une vallée au milieu de monts rocheux n'est donc pas un paysage depuis toujours) en effet il s'agit plus du regard variable et interréssé d'un spectateur qui va créer ce paysage. Mais de la même manière qu'une fenetre ouvre un point de vue sur le monde la manière de percevoir un paysage va varier selon les cultures et les personnes qui vont le regarder.

Cette démonstration autour de la définition et de l'apparition du terme de paysage va ainsi continuer durant les 3 prochains chapitre.

Berque va donc dans le deuxième chapitre étudier les cultures non-paysagères tel que les romains ou les grecs ainsi il montre que si dans ces cultures ou certaines caractéristique qui font qu'une culture est paysagère ou non sont très fortes le fait que cette perception du milieu est relégué à d'autres choses que la perception d'un paysage.

Ainsi c'est la différence entre les romains et les grecs avec la chine antique qui fait l'objet du 3eme chapitre et qui est la première civilisation à réunir les quatres critères cités précedements et donc avoir une véritable conscience paysagère.Il apparaît donc que le fait d'etre paysager consiste a user d'artifice dans l'unique but de satisfaire

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