CONCEPTS : Pudeur, Intimité, Proxémie, Compassion

UE 2.4.S1

CONCEPTS : Pudeur, Intimité, Proxémie, Compassion

Pudeur :

Général = Selon Le Larousse « Disposition à éprouver de la gêne devant ce qui peut blesser la décence, devant l'évocation de choses très personnelles et, en particulier, l'évocation de choses sexuelles : Manquer de pudeur. »

Contexte de soin : ?

Exemple = Cacher les parties intimes du patient lors de la toilette

Intimité :

Général = Selon Le Robert « Caractère intime et profond ; ce qui est intérieur et secret. »

Contexte de soin = « L’intimité c’est cet espace privé qui peut être partagé par un autre uniquement avec l’accord de la personne », a défini Tristan Cudennec, gériatre au centre hospitalier Ambroise Paré de Boulogne-Billancourt, lors d’une table ronde organisée vendredi 30 septembre, dans le cadre du 3e congrès de l’Association française des soins oncologiques de support (Afsos). 

Exemple = Demander la permission de toucher aux affaires des patients dans la chambre

        Proxémie :

Général = Selon le Larousse « Étude de l'utilisation de l'espace par les êtres animés dans leurs relations, et des significations qui s'en dégagent. »

Contexte de soin = Selon Edward Hall « Étude des rôles des distances chez l’homme, des « bulles d'espace » composant la sphère corporelle. »

Exemple = 4 types de distance :

•  Intime, personnelle, sociale et publique.

Distance entre deux personnes qui se parlent

Compassion :

Général = Selon Le Robert « Sentiment qui porte à plaindre autrui et à partager ses souffrances. »

Contexte de soin = Selon Frédéric Gros « La compassion signifie classiquement la capacité à s’émouvoir du malheur de l’autre, à ressentir douloureusement en soi la souffrance d’autrui. »

Exemple = « Je comprends ta peine. Je vais passer la soirée avec toi pour que tu ne sentes pas seule. »

2. Aucune situation

3. Lorsque j’ai été hospitalisé et que l’on a dû me mettre le bassin, on ne m’a pas recouverte avec le drap et j’étais en présence de ma mère, ils ne l’ont pas laissé sortir et j’étais mal à l’aise

4. Lors qu’un patitent de on age m’a demandait s’il pouvait me tutoyer et m’appeler par mon prénom, il essayé a chaque passage dans sa chambre d’avoir des informations sur ce que je faisais le weekend, ce que j’aimais quand j’allais au restaurant ou autres.

5. Lorsqu’on a annocné à la famille d’une patiente qu’on ne pouvait plus rien faire et qu’elle allait passer en fin de vie. Son mari s’est mis à pleurer et avait le besoin de parler, je l’a ecouté, compris, rassuré expliqué qu’il fallait accepter avec le temps et que ca viendra seul au fil des années

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