CHAPITRE 1 = LA LOGIQUE ENTREPRENEURIALE

Chapitre 1 : La logique entrepreneuriale

1. L’entrepreneuriat

L’entrepreneuriat consiste en la création d’activité nouvelle par la création d’entreprise mais aussi par la reprise d’entreprise

L’entrepreneuriat est une activité qui suit une démarche particulière :

- Repérer et analyser les opportunités de l’environnement

- Réfléchir à des choix commerciaux (étude de marché)

- Évaluer et collecter les capitaux nécessaires

- Adopter une structure juridique (EI, SARL, SA, SAS…)

- Organiser les activités

L’entreprise dispose de compétence lui permettant d’anticiper, de se projeter, d’innover mais surtout c’est sa capacité à prendre des risques.

Pour l’économiste SCHUMPETER, l’entrepreneur incarne « le pari de l’innovation » : il est capable de « transformer une idée ou une invention réussi ».

→ C’est « la destruction créatrice » qui conduit au progrès.

1. La mise en œuvre d’un projet entrepreneuriale

Le plan d’affaire ou business plan est un document qui résume la réflexion sur le projet de création et qui doit permettre de convaincre les banquiers et les investisseurs potentiels de les financer.

Il existe de nombreuses structures d’aide :

- Les institutionnelles : CCI, chambre des métiers, pôle emploi…

- Les collectivités : conseil général, régional, mairie, BPI (banques public d’investissmt)

- Les professionnels : experts comptables, avocats d’affaires

- Le business Angels

Le manageur définie les objectifs en fonction des finalités de l’entreprise. En tant que gestionnaire :

1. Il optimise l’utilisation des ressources pour assurer la pérennité de l’entreprise.
2. Il organise l’activité pour accroitre la rentabilité et l’efficacité.
3. Il contrôle et vérifie les résultats

1. La complémentarité des logiques managériales et entrepreneuriales

Bien que différente ces deux logiques sont complémentaires :

- Un entrepreneur doit adapter une démarche managériale pour faire aboutir son projet

- De la même manière, un manageur doit être responsable de remettre en question ses aptitudes et assumer un minimum de risque pour éviter une « dérive stratégique ».

Peter DRUCKER dit, qu’il faut créer une clientèle, càd que l’entreprise ne doit absolument pas rechercher le profit mais plutôt créer, développer et maintenir une clientèle (fidélisation)

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