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Chapitre 1: La logique entrepreneuriale

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Par   •  17 Avril 2014  •  439 Mots (2 Pages)  •  833 Vues

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I- La logique entreprenariat.

A. Qu’est-ce qu’un entrepreneur ?

2. Qualité de ces trois entrepreneur : ils sont innovants, ils prennent des risques, ils savent saisir des opportunités.

• Buretel a diversifié les partenaires pour multiplier les modes de diffusions de leur album.

• Stephan BOHBOT profite de l’émergence du téléphone portable pour vendre un produit innovant de sonnerie téléchargeable.

• Jacques Benoît a profité de la mondialisation pour développer son entreprise dans une centaine de pays.

3. Entrepreneur : innovateur, il impulse le changement et par qui la croissance va être possible. Il prend des risques et introduit des produits nouveaux et sait saisir des opportunités pour développer son entreprise.

4. Selon le texte de Fayotte on distingue 4 étapes dans la notion d’entrepreneur :

- A la fin du XVIème siècle, l’entrepreneur est désigné comme Négociant.

- En 1755, d’Alembert et Siderot les définissent comme une personne en charge d’ouvrage.

- A partir du XIX il devient un chef d’entreprise et par J.B Say un organisateur.

5. Fait preuve de capacité créative.

B. Quels sont les objectifs de l’entrepreneur ?

Question n°7 :

Les différents types de création évoquée dans les documents sont :

- Création pure : l’entreprise n’existait pas, elle est créée par l’entrepreneur.

- Réactivation : l’entreprise existe mais elle n’est pas développé, l’entrepreneur innove l’entreprise.

- Reprise : l’entrepreneur rachète une entreprise existante.

- Essaimage : départ d’un salarié de son entreprise pour créer sa propre entreprise avec l’aide et le soutien de son employé.

8. Pour les créations pures il y a eu augmentation importante (environs 27%) entre 2001 et 2006. De 2002 à 2004 il y a un pic. Pour la réactivation et la reprise le résultat est faible et stable. 40 000 pour la reprise et 50 000 pour la réactivation.

10-11. Ces deux entrepreneurs cherche à se développer sans cesse pour assurer leur survie, ils sont autonomes vis à vis de la banque. Gérard Mulliz élargit son activité :

- La restauration rapide (flunch)

- Le bricolage (Leroy Merlin)

- Vente correspondante (3 suisses)

- Financement (Accord financier)

Emmanuel de Bodard maintient son activité unicaule en développent une chaîne de distribution proposant des activités varier, adapter à différentes clientèles.

II- La mise en œuvre d’un projet entrepreneurial.

A. Quelles sont les étapes nécessaires ?

Question

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