Vers une nouvelle gouvernance des entreprises : L’entreprise face à ses parties prenantes
Étude de cas : Vers une nouvelle gouvernance des entreprises : L’entreprise face à ses parties prenantes. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mims • 14 Juin 2013 • Étude de cas • 854 Mots (4 Pages) • 1 140 Vues
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Titre : Vers une nouvelle gouvernance des entreprises : L’entreprise face à ses parties prenantes
Editeur : Dunod
Collection : Stratégies et management
Edition : 1ère édition
Date de parution : 13-05-2009
Nombre de pages : 208pages
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Auteurs :
• Jacques Igalens - Agrégé de sciences sociales, chercheur au LIRHE du CNRS, il est professeur responsable du département et du master GRH de l'IAE de Toulouse. Auteur de nombreux ouvrages dont Tous responsables (EO, 2004), Audit social (EO, 2007), Tous DRH (EO, 2006), L'audit des ressources humaines (Liaisons, 2001).
• Sébastien Point - Docteur agrégé en sciences de gestion, il est professeur à l'IAE de Besançon où il enseigne la GRH et le management international. Il intervient également en master professionnel à l'université de Strasbourg.
Résumé de l’ouvrage :
La première partie de l’ouvrage tente de définir puis de segmenter les parties prenantes de l’entreprise. En effet, la notion de partie prenante est devenue actuellement un des pivots de la politique d’entreprise, il s’agit d’une meilleure compréhension entre l’organisation et son avenir, fondée sur des obligations morales et normatives. Et pour ce faire, dresser une cartographie des parties prenantes permet de mieux connaitre les attentes de celles-ci et ainsi mieux les gouverner, à l’image de (Avera, Air France, Diagea, Total…). Cependant, ces cartes sont souvent davantage descriptives que stratégiques. Voilà pourquoi, il peut être utile de hiérarchiser les parties prenantes pour en mesurer le poids stratégique en passant par une catégorisation de sous-groupes dis tincts, relativement homogènes c’est-à-dire des « segments ». Il s’agit non seulement de repérer mais également de peser les parties prenantes avec une intention stratégique. Tout compte fait, l’entreprise doit impliquer les parties prenantes prioritaires et mettre en place un processus de gestion dédié ainsi qu’une communication adaptée.
Le deuxième niveau de l’ouvrage s’interroge sur la gouvernance avec les parties prenantes dans l’optique du développement durable. Les auteurs retiennent une logique de catégorisation reposant sur trois types de parties prenantes :
- Les parties prenantes organisationnelles, ou traditionnelles qui font corps avec l’entreprise. On y retrouve, les actionnaires, les dirigeants et les employés ainsi que leurs représentants syndicaux.
- Les parties prenantes économiques (sous-traitants, fournisseurs …) celles qui contribuent à l’action économique de l’entreprise. Ces parties prenantes peuvent être considérées comme indispensables à la pérennité de l’entreprise et comme la condition de son développement durable.
- Les parties prenantes sociétales qui sont pour une part commune à toutes les entreprises : Etat ou CI. D’autres sont particulières
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